Chroniques en souffrance

Les livres dont je n’ai pas réussi à faire la chronique et dont je ne sais pas si j’aurai le temps de la faire :

-        - Delphine de Vigan : Rien ne s’oppose à la nuit (c’est un beau livre de deuil, mais qui m’a laissée un peu réticente, comme écrit trop tôt, m’a-t-il semblé).

-          - Dermot Bolger : Une seconde vie (autre histoire d’adoption), Tentation, Le Voyage à Valparaiso.

-          - Marivaux : La Vie de Marianne (quelle langue magnifique, quelle débauche de subtilité psychologique, et quelle FRUSTRATION !!! c’est un roman inachevé.)

-          - Pierre Magnan : son unique livre pour enfants : L’Enfant qui arrêtait le temps. Une histoire d’horloges et d’oiseaux, une fantaisie mythologico-chronologique, contée avec une rythmique et une riche langue de conteur. Je ne suis pas certaine que cela parle aujourd’hui à des enfants – encore que leur parle, me semble-t-il, ce qu’on sait leur donner à savourer – mais c’est un beau texte, lu par curiosité au bord de l’océan battu par les vagues et inondé de soleil.

-          Steve Tesich : Karoo un authentique chef d’œuvre ! j’aimerais, vraiment, trouver le temps de le chroniquer, c’est-à-dire presque de le relire, tant la lecture de ce bouquin a été un plaisir intense, une excitation de l’intellect. Construction et style virtuoses, pour un héros intégralement antipathique, une sorte de Houellebecq fictif dans le monde du cinéma. C’est brillant.

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