Découverte matinale

En ce petit matin enneigé, puisque de Walt Whitman il a été question hier, puisque le gamin a découvert avec passion "l’énergie pure et indomptée" de cette poésie neuve, un distique dédicatoire, traduit par Jules Laforgue.

THOU reader throbbest life and pride and love the same as I,
Therefore for thee the following chants.

TOI LECTEUR

Toi lecteur, palpitante vie et fierté et amour, tout comme moi,
Pour toi donc les chants que voici.

Je ne connaissais de Whitman que la mention du récit totalement fantaisiste – canularesque – que Cendrars aurait fait de ses funérailles à Apollinaire, il en est question dans la bio de Myriam, laquelle est restée dans ma voiture, et je renâcle à la perspective de traverser la cour tout enneigée. Later on. En tout cas, je le situais de façon tout à fait erronée au début du XXe siècle... 1819 – 1892 !

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