Camilleri, un autre

La peur de Montalbano - oui, c’est bien le titre, en italien aussi -  c’est, plutôt qu’un roman, quatre nouvelles juxtaposées. Pas mal, mais pas non plus de quoi fouetter un chat. Et puis, peut-être est-ce le style sui generis de Camilleri, mais si j’ai goûté dans d’autres textes les traductions-transpositions de Quadruppani, celle-ci m’a fait tiquer, comme trop envahissante. Ça grippe la lecture. Et encore : à force d’éloignement, Livia finit par perdre toute consistance, ou par virer à la mégère, c’est dommage ! et Salvo’ Montalbano se pastiche lui-même. Mmmm. J’ai mieux aimé Le Ciel volé, sans Montalbano, ni sicilien reconstitué. Sans prétention, en somme.

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