mercredi, janvier 13 2010

Dina, Benjamin, Karna, trois générations en huit volumes

Allez donc savoir pourquoi Le Livre de Dina, d’Herbjørg Wassmo, et ses deux, puis trois efflorescences, Fils de la Providence, dont le héros est son fils Benjamin et L’héritage de Karna, - cette fois c’est la fille de Benjamin -, sont les cibles préférées des salves de spams que je reçois sous prétexte de commentaires, alors que JAMAIS lecteur humain n’a déposé sur cette saga qui pour être torrentielle n’en est pas moins éminemment captivante la MOINDRE appréciation.

À croire que tout le monde l’ignore. Alors j’en remets une couche aujourd’hui, ça vous changera de Balzac comme d’Alphonse Allais, et il y en a pour un bon bout de lecture ! 

mercredi, mai 23 2007

La notice d'aujourd'hui s'adresse aux amateurs (-trices?) de romanesque...

... débridé. Échevelé.
 Comme l'héroïne des sept volumes que j'ai avalés il y a quelques mois, et dont je n'avais pas pris le temps de faire le compte-rendu. Sept sur huit, mais le tome I du second volet manquait dans les librairies comme chez l'amie qui m'avait prêté les 1ers tomes, alors j'ai vaguement fait le lien entre la quatrième de couverture et un résumé pris sur Internet, et je suis passée au tome 2, c'est-à-dire au 5ème de la série, sans pouvoir attendre.
Il s'agit d'une saga, c'est le moment d'employer le terme, puisque l'autrice est norvégienne : 'Herbjørg Wassmo, Le livre de Dina, 3 volumes – Les limons vides/ Les vivants aussi/ Mon bien-aimé est à moi. Puis Fils de la Providence (2 tomes dont je n'ai pas lu le premier), le récit se déplace vers le fils de Dina, Benjamin, qui va faire ses études de médecine à Copenhague. Enfin, L'héritage de Karna (3 volumes à nouveau, et cette fois, c'est la petite fille de Dina, Karna, qui est au centre des histoires :Mon péché n'appartient qu'à moi / Le pire des silences / Des femmes si belles. Trois générations, donc, d'une famille pour le moins étrange et chaotique.

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