samedi, mai 15 2010

Chroniques de Convolvulus new look

Il reste bien des mystères. Par exemple la raison pour laquelle certains billets apparaissent correctement mis en page, et d’autres manifestent les encodages à grands coups de tirets et autres parenthèses ou pourcentages multipliés. Pourquoi des images ont-elles disparu ? et comme il y en a plus de deux-cents, je n’ai certes pas le temps de vérifier tous les billets un par un ce mois-ci. MAIS le moteur de recherche marche mieux (j’ai carrément réenregistré la plupart des billets, et il semble que cela lui ait fait de l’effet), et vous ne manquerez pas, utilisateurs et visiteurs de Convolvulus, de constater qu’il y a désormais des « tags » (des « étiquettes », quoi. En fait un «Index nominum », mais je ne sache pas que l’on puisse rebaptiser la rubrique « tags » en latin, tant pis). C’est sous les catégories, et ça permet d’accéder direct aux articles évoquant, parfois même nommant seulement, tel ou tel auteur. Il y a presque tout le monde, je reprendrai tout cela plus tard quand j’aurai le temps, car vous n’aurez pas été sans remarquer que je ne cause guère livres ces temps-ci, et pour cause : je ne lis pas ! - à part Le Misanthrope, quelle merveille !, et puis une resucée de Courteline, La Conversion d’Alceste (1905), pièce en un acte et en alexandrins qui lui a permis d’avoir ses entrées au Français, mais dont le brio ne justifie pas qu’en fait de conversion, ce soit une trahison vaudevillesque de Molière, et enfin la version 92 (1992) de Jacques Rampal, Célimène et le Cardinal, très jouée ces derniers temps semble-t-il, dont les anachronismes ajoutent au piquant d’une œuvrette au contraire irriguée de la malice et de la tendresse sombre de la comédie originale. Grand succès parmi mes élèves, et ça m’a fait plaisir.