Catégorie Comité lecture
vendredi, avril 1 2022, par nathalie casquinha
A la ligne, feuillets d'usine - Portrait chinois proposé par Sabrina
Si j’étais une odeur , je serais un mélange de sel et de poisson.
Si j’étais une couleur , je serais le bleu.
Si j’étais un métier, je serais ouvrier.
Si j’étais une région, je serais la Bretagne.
Si j’étais de la nourriture, je serais des crevettes.
Si j’étais une école, je serais l’hypokhâgne.
Si j’étais une routine, je serais café, clopes, boulot, dodo.
Si j’étais un style littéraire, je serais de la poésie.
Si j’étais une émotion, je serais l’évasion.
Si j’étais une impression, je serais un froid glacial.
Si j’étais un lieu, je serais une usine.
Si j’étais un objet, je serais des gants.
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lundi, janvier 31 2022, par nathalie casquinha
Un livre poignant et actuel, évoquant les violences sexistes et conjugales, le déracinement aussi… mais qui pour autant laisse entrevoir une subtile touche d’espoir entre les générations.
Sabrina
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Âme brisée- Portrait chinois proposé par Pauline
Si tu étais un animal, tu serais un shiba
Si tu étais un des cinq sens, tu serais l’ouïe
Si tu étais une odeur ce serait celle du papier des partitions de musique et du bois
Si tu étais un plat tu serais une soupe miso
Si tu étais un pays, tu serais le Japon
Si tu étais une ville, tu serais Tokyo
Si tu étais un local, tu serais l’atelier de lutherie
Si tu étais un style de musique, tu serais la musique classique
Si tu étais un instrument de musique, tu serais le violon
Si tu étais un art, tu serais la musique et la littérature
Si tu étais une émotion, tu serais la nostalgie
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vendredi, décembre 10 2021, par nathalie casquinha
« Un livre, quand je l’ouvre, c’est ma maison. » Jeanne Bénameur
Règlement du Prix Michelis 2022
Les membres du Comité de Lecture du lycée Michelis invitent l’ensemble de la communauté éducative à participer à la nouvelle édition du concours de lecture destiné à décerner le Prix Michelis 2022.
Ce prix est une occasion de découvrir, à travers une sélection de huit titres, des œuvres qui ont été particulièrement appréciées par le Comité lors de ses dernières sélections, œuvres qui paraissent susceptibles de retenir l’attention d’un plus grand nombre de lecteurs.
La démarche est simple :
1/ Inscription auprès des documentalistes, au CDI.
2/ Emprunt des œuvres mises au concours, pour une durée maximale de deux à trois semaines par œuvre (deux exemplaires disponibles par titre).
3/ Chaque participant, élève et adulte, est invité à lire au moins deux titres dans la sélection et à attribuer une note entre 0 et 5 plumes d’oie à chaque titre, en fonction de l’intérêt suscité par la lecture. L’ouvrage qui recueillera le plus de plumes sera le lauréat du prix Michelis 2022. Collecte des bulletins de vote dans une urne installée au CDI.
Début des inscriptions le vendredi 10 décembre 2021.
Clôture impérative du vote le mercredi 25 mai 2022 à 12h00.
La « remise du prix » symbolique aura lieu lors d’un Goûter en Terres Littéraires début juin 2022 (date encore à définir), moment convivial qui pourra être l’occasion d’échanger nos impressions sur la lecture des œuvres en lice.
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La femme que nous sommes est un roman choral très touchant, sur le thème des violences conjugales, qui nous plonge dans la vie d'Elisa et de l'univers qui gravite autour d'elle.
Elisa est une femme parmi tant d'autres, mariée à un homme intrusif et autoritaire. Sous l'emprise de ce mari violent, Elisa n'a qu'une seule idée : éloigner sa fille de tout cela.
Des espoirs de fuites s'insinuent dans la tête de la jeune mère, et la tension s'installe lentement.
Chaque chapitre est fait pour vous tenir en haleine. Et à chaque nouveau chapitre, on se rend compte qu'Elisa est loin d'être la seule, et que toute femme, à tout âge, peut subir les violences, les injures et le harcèlement de certains hommes.
Dans un monde si petit, on se rend aussi compte que l’on n’est pas si seule et que l'union permettrait de mettre fin aux violences faites aux femmes, même si la réalité n'est évidemment pas toujours aussi simple …
L'espoir que l'on a pour Elisa grandit peu à peu tout au long du roman, et l'on a envie de les voir, elle et sa fille, épanouies.
Les passages vus du point de vue de sa fille, Lucie, sont bouleversants et éveilleurs de conscience.
Si vous n'étiez pas encore touché par cette injustice, cette violence contre les femmes, j'espère que cette auteure talentueuse vous fera ouvrir les yeux.
Je vous recommande de lire ce roman « coup de poing », plein d'émotions, de colère, d'amour, de tristesse et de messages.
Ne restez jamais seule et ne tolérez jamais la situation d'Elisa !
Mathys
Mathys a lu à voix haute un extrait du roman d'Emma Derushi lors d'un atelier programmé dans le cadre de la Journée de lutte contre les violences faites aux femmes le 25 novembre dernier.
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vendredi, octobre 1 2021, par nathalie casquinha
Retrouvez-nous tous les 15 jours au CDI !
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vendredi, avril 9 2021, par nathalie casquinha
« Munyal », ce mot revient comme une incantation dans ce récit. Mais comment cultiver l’art de la patience, « munyal » en langue peulh, quand tout n’est que violence et injustice autour de ces trois « impatientes » prénommées Ramla, Hindou et Safira ? Comment être patiente quand la désobéissance aux règles, la révolte ou la fuite sont une question de survie ? Comment se résigner à tout accepter, à ne pas se plaindre alors que l’on souffre dans sa chair et son esprit ? Comment ne pas hurler pour juste signifier que l’on existe en tant qu'être humain ?
Djaïli Amadou Amal, dans son dernier roman qui a été primé lors du Goncourt des lycéens 2020, donne la parole à ces trois figures féminines pour dénoncer la condition des femmes au Sahel : mariage forcé, viol conjugal, polygamie. Elle nous donne à voir de l’intérieur la souffrance d’être femme.
Ces « impatientes », qui parviennent parfois à se faire une place par la ruse et l’intelligence, sont attachantes et touchantes.
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jeudi, novembre 26 2020, par nathalie casquinha
Ce livre a été écrit par Olivia Elkaim, et il est à mi-chemin entre l’autobiographie et la fiction.
Le début est simple : dans le passé, Marcel, le grand-père de la narratrice (qui est l’autrice en fait) est enlevé par un commando pendant la guerre d’Algérie. Pourquoi ? On ne sait pas, beaucoup de gens ont subi le même sort, mais lui n’a a priori rien fait. Où est-il emmené ? Cela non plus, on ne le sait pas. La seule chose dont on soit sûr, c’est qu’il n’est plus là. Pourtant, au bout de trois jours, il rentre, sain et sauf, mais refuse de dire ce qu’il s’est passé.
Dans le présent, la narratrice est à un moment pivot de sa vie : elle divorce. Elle se tourne alors vers ses racines : l’Algérie, la terre où ses grands-parents vivaient, celle d’où ils se sont enfuis, celle pour laquelle son père voulait tant lui transmettre son amour. Alors elle appelle son père, l'interroge. Et elle replonge dans son histoire, ses racines.
Ce livre, en plus d’être fluide à lire, fait très bien la liaison entre le passé et le présent. On n’y passe pas d’un chapitre à un autre, mais l’alternance se fait au sein même des chapitres, entre les paragraphes. De plus, c’est un livre où le réel et le romancé se mêlent, dans lequel les notions de passé et de présent, d’autobiographique et de fiction se mélangent, se confondent…
Je le recommande donc vivement pour le suspense et l’histoire qui retrace le destin des familles d’immigrés pendant la guerre d’Algérie, qui sont venues s’installer en France. L’autrice a une écriture très facile à lire, et l’immersion dans le roman est très rapide grâce au début du récit qui intrigue beaucoup.
Pierre-Philippe
Roman en lice pour le FEMINA DES LYCEENS 2020 et bientôt disponible en prêt !
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lundi, octobre 12 2020, par nathalie casquinha
Reprise des réunions...en tout petit comité ce vendredi 9 octobre au CDI.
Autour des derniers achats de l'an dernier, nous avons évoqué ensemble des activités possibles pour cette nouvelle année et nos lectures "coup de cœur de l'été.
Prochaine réunion le vendredi 6 novembre à partir de 9h au CDI. Bonnes volontés ne pas s'abstenir !!!!
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mardi, mai 26 2020, par nathalie casquinha
Nous sommes dans les années 60 en Islande.
Une jeune femme, Hekla, du nom d'un vieux volcan qui se réveille après 200 ans de sommeil – son père l'a prénommée ainsi car il est passionné de vulcanologie - décide de quitter, à 21 ans, sa région natale de Dalir pour rejoindre son ami d'enfance à Reykjavik afin de tenter sa chance en tant qu'écrivaine.
Certes, elle connaît déjà un petit succès éditorial grâce à la publication de quelques nouvelles et de poésies, mais elle pense avoir plus de chance de percer en allant à la capitale. Pourtant la vie est rude pour les femmes et d'autant plus pour les écrivaines : son succès, c'est sous un pseudonyme masculin qu'elle le connaît !
Arrivée à Reykjavík, elle déchante vite car tout ce qu'on lui propose c'est soit de se présenter au concours de Miss Islande, soit de devenir serveuse. Contrairement à ce que pourrait laisser croire le titre, c'est en tant que serveuse dans le salon de thé d'un hôtel qu'elle va gagner chichement sa vie.
Mais Hekla ne vit que pour l'écriture. Elle lui consacre tout son temps libre.
Aux côtés d'Hekla gravitent ses deux amis d'enfance Jón John et Isey, qui tous deux ne se satisfont pas non plus de leur vie et rêvent d'un autre destin afin de se réaliser enfin.
L'autrice islandaise nous dépeint, dans ce nouveau roman, le portrait de trois personnages à la marge qui ne se sentent pas à leur place dans cette société patriarcale.
Immersion intéressante dans la société islandaise des années 60 et qui questionne la place des femmes en général, et des écrivaines en particulier.
Il va s'en dire que je vous conseille cette lecture ainsi que celles des précédents romans d'Audur Ava Ólafsdóttir dont certains sont disponibles au CDI !
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lundi, avril 27 2020, par nathalie casquinha
Reykjavik. Dans un hôpital psychiatrique. Daniel, 40 ans, se suicide en se jetant par la fenêtre sous les yeux de son frère, Palmi. Le même jour, à la même heure, Hallvor, l'ancien professur de Daniel, est retrouvé mort dans l'incendie de sa maison... A partir de là, Erlendur, assisté de Sigurdur Oli, mène une difficile et énigmatique enquête de police.
N'hésitez pas à vous plonger dans ce très bon polar nordique. Vous ne lâcherez pas ce livre avant de découvrir toute l'histoire !
Cécile D.
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dimanche, avril 19 2020, par nathalie casquinha
Une lecture intéressante, surprenante car il y a deux histoires dans un même livre. Une éditrice anglaise découvre le dernier manuscrit d'Alan Conway...mais il manque les derniers chapitres du roman policier. Problème car l'auteur est mort entre-temps. Suicidé !
L'éditrice décide alors de retrouver der dernières pages du roman et se lance dans une enquête aux multiples rebondissements...
Plongez-vous sans hésiter dans cet ouvrage aux nombreuses intrigues !
Cécile D.
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jeudi, avril 2 2020, par nathalie casquinha
Le dernier récit de Sylvain Tesson nous entraîne dans son expédition sur les hauts plateaux du Tibet - montée avec le photographe animalier Vincent Munier - sur les traces de la panthère des neiges, cet animal rare et très difficile à apercevoir.
Pendant que le photographe se tient à l’affût, Tesson apprend à apprivoiser la patience, chose très contraignante pour ce baroudeur intrépide, mais qualité indispensable dans ce contexte et propice ici à une réflexion métaphysique souvent désenchantée sur l’homme, la vie, la mort … et les rapports conflictuels entre le monde humain et la nature.
Sous sa plume poétique, nous voyons apparaître tout un bestiaire sauvage et des paysages minéraux balayés par les vents, jusqu’à la rencontre fugace tant espérée…
Superbe chronique d’une attente, doublée d’une leçon de sagesse, transmise par le style inimitable de cet écrivain-voyageur.
Avec une seule petite réserve peut-être : l’impression parfois de « déjà lu » dans les récits précédents de Sylvain Tesson, ou de « déjà entendu » dans les nombreuses interviews données dans les médias à l’occasion de la parution de cet opus.
Anne B.
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mercredi, avril 1 2020, par nathalie casquinha
Dmitry Glukhovsky a écrit Texto où il retrace la vie d'un ancien détenu de la Russie d'aujourd'hui, Ilya.
Lorsqu'il est libéré, Ilya est confronté à la mort de sa mère. Cette annonce le bouleverse à tel point que, dans la nuit même de son retour, l'alcool qu'il a dans le sang le pousse à commettre un crime contre un officier de la Brigade des Stups - le même officier qui l'avait arrêté et mis en prison 7 ans plus tôt. Avant de se débarrasser du corps, il récupère le téléphone portable de l'officier, ainsi que son arme de service. Ce n'est que le lendemain matin qu'il prend conscience de son acte et que le téléphone devient sa seule autorisation de vivre : c'est le début d'un jeu de rôle pour Ilya qui ne lui laisse pas le droit à l'erreur.
Une histoire qui nous plonge lentement dans l'action, mais très vite on ressent de la compassion pour ce personnage dépassé par les événements.
J'ai toutefois été un peu déçue par la fin du récit, qui est assez précipitée, contrairement au début.
Lisa
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jeudi, février 20 2020, par nathalie casquinha
Les membres du comité lecture ont fait une petite virée à la librairie du Labyrinthe ce jeudi 13 février !
Si on avait pu, on aurait sûrement dévalisé cette petite librairie pourtant bien fournie !
Nous vous invitons à aller au CDI pour y découvrir notre nouvelle sélection des œuvres très variées : entre Science-fiction, polar, ou même des livres un peu plus classiques. Il y en a pour tous les goûts !
Retrouvez notre sélection ici.
Bonne lecture !
Lisa
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vendredi, janvier 31 2020, par nathalie casquinha
Je voudrais que la nuit me prenne est une oeuvre très bien écrite, dans laquelle Isabelle Desesquelles évoque l'enfance à travers le regard d'une petite fille de manière très touchante. Le fait de laisser la chute en suspens durant tout le livre permet aux lecteurs d'aller jusqu'au bout avec des questions dans la tête.
C'est une belle histoire qui est racontée ici. Clémence, la petite fille, découvre la vie : de l'herbe mouillée à la rosée du matin, en passant par la vie animale et végétale qui l'entoure, jusqu'aux émotions et sentiments auxquels elle fait face à cause des aléas de la vie.
Grâce à ses parents, elle apprend aussi la littérature. C'est très important pour sa mère, alors ça l'est aussi pour Clémence.
Dans ce livre, on se laisse transporter dans une autre vie, on redécouvre notre entourage. Et peut-être que cela peut nous permettre de changer notre vision du monde ? ….
Lisa
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Le roman de Delphine de Vigan, Les gratitudes, est très touchant et poignant.
L'histoire d'une vieille dame qui perd l'usage de ses mots nous est racontée par l'intermédiaire de deux personnages qui se sont beaucoup attachés à elle, sans avoir pourtant aucun lien de sang avec elle : une jeune femme qu'elle a recueillie quand elle était petite, et son orthophoniste à l'Ehpad.
Ce que cette femme vit pourrait arriver à n'importe qui. Alors, le lecteur se sent tout de suite concerné.
Le fait qu'elle tente de retrouver le couple qui lui a sauvé la vie lorsqu'elle était petite est d'autant plus touchant ; elle tient à leur rendre hommage avant de devoir partir pour toujours. Et l'histoire se répète puisqu'elle a aussi sauvé la vie d'une jeune fille, Marie, qui a tenu à la remercier.
Comme quoi, remercier quelqu'un pour une chose même sans intérêt particulier est important. Parce qu'on ne le dit pas assez, et au moment où on veut le dire, c'est trop tard. Alors on regrette.
Lisa
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« Il ne se passe jamais rien à Siglufjördur ».
Pourtant, lorsque le jeune policier Ari Thor, tout juste arrivé de Reykjavik, y emménage, un vieil écrivain meurt après une chute accidentelle. Et l’on retrouve, quelques jours plus tard, le corps d’une femme à moitié nu dans la neige.
Ragnar Jónasson nous entraîne dans une ville où tout le monde se connaît, mais surtout où tout le monde a ses secrets. Une ville qui en apparence est sans histoires. Même si Ari Thor en découvre vite le contraire. Siglufjördur n’est pas si tranquille qu’elle y paraît.
C'est ainsi qu'on se retrouve dans un huis clos semé d’interrogations de toutes sortes ....
Marion
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L’histoire se déroule aux Etats-Unis dans les années 60. On va suivre Doug Swieteck, un jeune Américain de 14 ans qui déménage à Marysville, une petite ville perdue dans l’état de New York.
Les seules personnes qu’il connaît sont ses parents et son idiot de frère, mais il va rapidement faire de multiples rencontres qui vont changer peu à peu sa façon de voir les choses et la vision du monde qui l’entoure…
C’est un voyage initiatique auquel on prend part avec et à travers Doug ; on va l’accompagner dans ses péripéties, rire, s’énerver, s'angoisser, et même pleurer avec lui.
Sa façon de raconter assez simple mais si particulière, et ses commentaires assez fréquents - comme « ça ne vous regarde pas » ou « je vous ai dit que…? » - rendent l’histoire encore plus humaine qu’elle ne l’est déjà.
Je n’ai pu m’empêcher de verser une petite larme à la dernière page où l’on ne cesse d’espérer pour Doug, qui aura traversé bien des épreuves et qui va sûrement devoir en surmonter bien d’autres dans le futur....
Lilou
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vendredi, décembre 20 2019, par nathalie casquinha
Venez découvrir, lire et voter pour le Prix Michelis 2020 !
Vous avez jusqu'au 25 mai 2020 pour participer ;)
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