Sur une petite île de la Baltique plongée dans un épais brouillard, tombe la nuit. A l’heure trouble, un petit garçon disparaît.
20 ans plus tard, son grand-père reçoit une chaussure par la poste. C’est celle de son petit-fils !
Il décide alors de se lancer à la poursuite de la vérité, avec l'aide de sa fille, la mère de l'enfant disparu.
Cette enquête va permettre à cette mère inconsolable de faire la paix avec elle-même et avec son passé. Le travail de deuil va enfin pouvoir se faire.
Cette quête de la vérité va également révéler au grand jour le vrai visage des personnalités du bourg.
Thriller haletant jusqu’à la dernière ligne !
Catégorie Lectures nordiques
L'heure trouble
lundi, septembre 23 2013, par nathalie casquinha
Imaqa, une aventure au Groenland
vendredi, septembre 13 2013, par nathalie casquinha
A 38 ans, Martin est un instituteur danois qui s’ennuie mais qui aimerait donner du sens à son existence. Il décide alors de prendre une décision extrême : il va demander sa mutation pour un tout petit hameau du Groenland, Nunaqarfik.
Dès son arrivée, il a un grand désir d’intégration et pour cela, il va tout d’abord désobéir aux consignes ministérielles en apprenant la langue de la province afin de mieux comprendre les us et coutumes de ses élèves et de leurs familles et ensuite, il va participer pleinement aux petits et grands événements du village : aux fêtes locales, à la course de chiens de traîneaux, ...
Contre toute attente, il va peu à peu s’intégrer à la communauté autochtone car contrairement à ses compatriotes, il va apprendre à l’apprécier, à la respecter, à la comprendre.
Dans ce roman, on passe constamment du rires aux larmes, on assiste à des moments de grand burlesque et à des scènes très touchantes et d’une grande humanité.
On ne sort pas indemne de cette lecture qui laisse des traces bien après la lecture de ses dernières lignes.
Un roman comme un grand hymne à la tolérance !Un grand coup de cœur !
Avant le gel de Henning Mankell
jeudi, septembre 8 2011, par nathalie casquinha
En Suède, le rescapé d’un suicide collectif, décide de poursuivre les sacrifices de sa secte afin de faire renaitre la religion. Dés lors, la police se penche sur cette histoire assez confuse. D’autant plus qu’un meurtre violent et inexplicable a lieu durant l’enquête…
Riche en rebondissements, c’est un excellent policier que nous offre cet auteur nordique, avec un suspense qui vous fera dévorer les lignes et les pages pour connaître le fin mot de l’histoire.
Critique d'Olivia
La Femme en vert
samedi, mai 21 2011, par lisa balavoine
L'histoire se passe en Islande et raconte l'enquête du policier Erlendur, donnant suite à la découverte d'un os humain dans un terrain. Le suspense est extrêmement bien maintenu, notamment grâce à un "aller-retour" constant entre la passé et le présent. C'est un excellent polar riche en émotions qui rivalise avec ceux des plus grands auteurs.
Critique d'Olivia.
Le mec de la tombe d'à côté
mardi, mai 10 2011, par lisa balavoine
Un roman extrêmement drôle, plein de causticité mais aussi de tendresse, qui relate la relation amoureuse entre une bibliothécaire et un agriculteur. Alors que tout semble les séparer, ces deux personnages vont se rencontrer, s'apprivoiser, se séduire. Mais parfois le poids des conventions est trop fort. Réussiront-ils à s'aimer malgré tout ? Une lecture très agréable, une vraie réussite.
Entre Dieu et moi, c'est fini
mardi, mai 3 2011, par lisa balavoine
Ce roman de Katarina Mazetti met en scène Linnéa, une adolescente, dont la meilleure amie Pia vient de se suicider. A la façon d'un journal qui se remémore les mois qui ont précédé cet acte ultime, Linnéa nous décrit son quotidien, sa vie de famille, ses liens d'amitié, sa vie lycéenne. Ce qu'elle partageait avec Pia est rapporté de façon joyeuse et tendre, de façon grave et amère aussi. Surtout, Linnéa veut comprendre ce qui a poussé Pia à se donner la mort. Mais tout le monde a ses secrets. Un petit récit tout doux et très plaisant.
Sous un autre jour
mardi, avril 12 2011, par lisa balavoine
Irene Beckman a tout pour être heureuse : une brillante carrière d’avocate, mariage heureux, mère de deux enfants, une splendide maison dans les beaux quartiers de Copenhague… Mais son mariage bat de l’aile, et sa mère est à la veille d’une opération qui pourrait lui être fatale ; elle entraperçoit alors ce qui pourrait être un fragment de la vérité à propos de son père… Ce roman nous présente le portrait moral attachant d’une femme aux prises avec elle-même, refusant la réalité et en quête de son propre passé. Une écriture fluide et agréable, malgré un système de flash-back parfois déroutant. Le tutoiement scandinave dans la traduction de Alain Gnaedig donne une sonorité toute spécifique aux relations entre les personnages.
Critique de Matthieu (ancien élève)
Rosa Candida
jeudi, mars 17 2011, par lisa balavoine
Rosa Candida est de ces livres qui méritent que l'on s'y attache. Pour commencer, c'est un roman qui se lit d'une traite, car l'écriture est plaisante, fluide, accrocheuse. C'est une lecture qui fait du bien. Ensuite, ce roman est empli de bonnes idées : l'auteur y mêle le road-movie, l'histoire familiale, la vie d'un monastère, le cinéma d'auteurs, la découverte de la paternité et de l'amour, tout cela au milieu d'une roseraie millénaire. C'est une lecture qui emporte, c'est certain, parce que le récit est doux et plein d'entrain. On s'attache à ce héros, parfois un peu paumé, parfois très étonnant, et dont la vie prend peu à peu une tournure inattendue. On est surpris, désappointé ou ravi, par la fin. Enfin, c'est un roman optimiste. Vous l'aurez compris, Rosa Candida est une lecture doudou qui réconforte et qui donne le sourire : en ces temps plein de cynisme, c'est déjà beaucoup.
A partir de la Seconde
Thèmes : récit initiatique / famille / évasion / amour / paternité