mercredi, décembre 28 2016

La prise de Pozières (l’impact de l’Australie)

Pozières est un petit village se trouvant dans la somme entre Albert et Bapaume. Il fait également partie du circuit du souvenir.

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En juillet 1916, Pozières se faisait bombarder par les Allemands qui avaient perdu leur emprise sur le village. Cette bataille dura deux semaines du 23 juillet au 7 aout 1916. 11.jpg

Mi-juillet, trois divisions australiennes du 1er Corps de l’ANZAC (corps d'armée australien et néo-zélandais), se dirigent vers la somme. Dans la nuit du 22 au 23 juillet 1916, la Première division australienne se bat pour défendre Pozière contre les allemands. Du 24 au 26 juillet 1916, les Allemands bombardèrent Pozières sans relâche, notamment les voie d’accès au village, par lesquelles arrivés le ravitaillement et sortaient des centaines de blessés et de brancardiers portant les blessés graves.. « Je n’avais pas la moindre idée d’où se trouvaient nos lignes ou celles de l’ennemi, et les obus qui nous tombaient dessus semblaient venir de trois directions différentes » John Raws, lieutenant australien. L’objectif de ces tirs d’obus n’était pas simplement de préparer le terrain pour une contre-attaque mais d’infliger autant de dommages et de pertes que possible aux Australiens. Il ne restait plus que des ruines et débris. Mais les allemands persistèrent et lorsque la 1e Division fut remplacée par la 2e, elle avait perdu 5 000 hommes, principalement en raison des tirs d’artillerie. Le soir du 23 juillet, les hommes de la Première Division déplacèrent leurs postes d’attaque dans les champs vers le sud. Quelques instants avant l’offensive, le lieutenant Lawrence Thurnhill de la 6e Batterie de l’artillerie de campagne australienne et ses hommes tirèrent leur canon le long de la route jusqu’à une distance de 360 mètres d’où ils tirèrent 115 cartouches à bout portant dans la grand-rue. Le 23 juillet 1916 vers minuit les bataillons de tête de la Première Division prirent le poste allemand vers le sud du village qu’on appelait « la tranchée de Pozières ».

Le lendemain, un avion de reconnaissance britannique avertit les troupes que le reste du village au nord de la grand-rue était déserté. C’est en face de l’endroit où se trouve aujourd’hui le Mémorial de la Première Division que se trouvait une structure en béton renforcé blanche de 3 mètres de haut, on pouvait voir le canon d’une mitrailleuse. Les hommes du 2e Bataillon menés par le capitaine Ernest Herrod, envahirent le système de défense de l’ennemi et ils y trouvèrent 26 allemands et trois mitrailleuses. Les allemands se sont donc rendus. Par la suite ils trouvèrent d’autres caves qui renfermées beaucoup d’équipement, il s’agissait sans doute d’un poste d’observation allemand. La solide tour en béton avait résisté à tous les bombardements britanniques et même après la destruction totale de Pozières, elle demeura un emblème important pour les Australiens qui combattaient dans la région.

On l’a d’abord nommée « maison en ciment », puis elle prit le nom de « Gibraltar ». À 500 m au nord-est de Pozières se trouvait un moulin au sommet de la crête. Les observateurs de l’artillerie australienne stationnés sur ce terrain seraient alors en mesure de diriger leurs tirs sur l’arrière-garde allemande jusqu’à 10 km à l’est en direction de Bapaume. La Première Division lança des attaques répétées et le soir du 26 juillet avait repoussé l’ennemi hors de Pozières. Mais les bombardements continuèrent, et la pire journée fut le 25 juillet. Le 11e Bataillon maintint ses positions.  « Il est presque impossible de décrire les conditions de cette journée interminable. Mais vus de la tranchée peu profonde dans laquelle gisaient les survivants du 11e Bataillon, les alentours n’étaient qu’une scène de mort et de destruction impossible à oublier un déluge d’obus tombait du ciel en une averse incessante On pouvait même les voir tomber : des points noirs incroyablement rapides, qui chutaient vers le sol à toute vitesse et dont la détonation s’accompagnait de panaches de fumée et de poussière. Certains des obus tombaient trop près des soldats, les tuant ou faisant éclater leurs membres. » Capitaine Walter Belford, 'Legs Eleven’, being the story of the 11th Battalion (AIF) in the Great War of 1914–1918 (Legs-Eleven, Histoire du 11e bataillon de l’AIF pendant la Grande Guerre de 1914-18), Perth, 1940, p. 289 57 hommes du 11eme bataillon furent tués le 25 juillet, mais leurs corps n’ont jamais était retrouvé. Leurs noms sont commémorés sur les parois du Mémorial national australien de Villers-Bretonneux, mais leurs restes reposent aujourd’hui quelque part dans le sol au nord-est de Pozières. Ce bombardement allemand fut le pire qu’on connut les soldats australien sur le front-occidental. 12.jpg



À un kilomètre environ de Pozière se trouve le cimetière militaire britannique où se rassemblèrent les soldats de la Première Division le 8 juillet 1917 pour une cérémonie commémorative autour d’une grande croix en bois. 4.jpg 5.jpg 7.jpg



Celle-ci avait été érigée à la mémoire des hommes de la division tombés lors des batailles des environs de Pozières entre juillet et septembre 1916. Lors de ces actions, la division estimait avoir subi 7 700 pertes, dont 5 285 en quatre jours seulement, du 23 au 26 juillet 1916. En hommage au australien venu se battre pour Pozière qui fut leur première opération depuis leur retrait de Gallipoli en décembre 1915. A Pozière se trouve une rue dont le nom est tiré d’une formation militaire australienne. 9.png

C’est à l’emplacement où a eu lieu le combat que les hommes de la Première Division australienne érigèrent plus tard leur mémorial en France pour commémorer l’acharnement avec lequel ils maintinrent leurs positions et les camarades qui périrent dans l’horreur de ces bombardements.

1.jpg 3.jpg « En tant que théâtre de la première grande opération entreprise par la 1ère Division en France, à cause de son importance stratégique dans la bataille de la Somme en 1916, de l’intensité des combats et du courage démontré par les deux armées pour gagner et conserver le contrôle de ce village, Pozières resta gravé dans la mémoire des hommes de la 1ère Division australienne. C’est pourquoi il fut unanimement choisi pour y ériger le mémorial des morts à la guerre de cette Division. » Mémorial de la 1ère Division australienne, 623/4, AWM 27

Cette bataille fit une telle impression sur les soldats du Queensland qu’un petit village de cet état de l’Australie fut nommé Pozières en hommage à cette bataille. Il eut la présence de trois divisions australienne.

Manon Sianecki

Bullecourt

Bullecourt est une commune de l’Artois, dans le département du Pas-de-Calais et dans la région des Hauts-de-France.

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Bullecourt a connu de violents combats durant la Première Guerre Mondiale. Le 11 avril 1917, deux brigades australiennes attaquent Bullecourt, appuyées par 12 tanks mais sans soutien d'artillerie. Pris sous un feu d'enfilade, les Australiens durent se replier. Les pertes de la 4th Brigade s'élèvent à 2258 sur un effectif de 3000 hommes. Les Allemands capturent 27 officiers et 1137 hommes et n'ont que 750 tués. Le 3 mai 1917, une deuxième attaque est menée par les 62e et 2e division australienne sur les deux flancs du village. Bullecourt est repris mais la percée de la ligne Hindenburg n'a pas eu lieu. Au total, les pertes britanniques et australiennes s'élèvent à 14000 hommes.

La légende de la statue de Bullecourt La statue en bronze du « Digger de Bullecourt » se dresse dans le Parc mémorial australien en périphérie de Bullecourt, au bord de la rue des Australiens et de la route secondaire allant à Reincourt-lès-Cagnicourt. En avril et mai 1917, les forces armées impériales australiennes de l’AIF déplorèrent 10 000 soldats tués ou blessés dans les champs qui s’étendent aux pieds de la statue.

Bullecourt-_la_statue_en_bronze__2_.jpg  « Digger de Bullecourt » porte le regard tourné vers les tranchées ennemies, dont la conquête coûta la vie à de nombreux Australiens.

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http://www.ww1westernfront.gov.au/french/bullecourt/index.php#  : statue de Bullecourt http://www.ww1westernfront.gov.au/french/bullecourt/visiting-bullecourt/48th-battalion-at-bullecourt.php#!lightbox-uid-0 : Australiens se préparant pour une attaque près de Bullecourt, France, mai 1917. AWM E00454 http://www.ww1westernfront.gov.au/french/bullecourt/visiting-bullecourt/48th-battalion-at-bullecourt.php#

Justine Fournier

Le mémorial du corps d'armée Australien, Le Hamel

Le Mémorial australien du Hamel est un monument commémoratif de la Première Guerre mondiale. Pour commencer cette Première Guerre mondiale est un conflit militaire entre 1914 à 1918 qui a eu lieu en Europe. Les pays concernés étaient : -la France -le Royaume-Uni -La Russie -Le Japon - Les États-Unis

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Le bilan de cette Guerre a été lourd en conséquence avec un bilan de 10 millions de morts dont  1,4 million de Français et 1,8 million d'Allemands. Sans oublier, 21 millions de blessés dont certains au visage qu'on appelait les «Gueules cassées» (expression inventée par le Colonel Picot, qui désigne les survivants de cette grande guerre ayant subi des blessures graves et qui ont gardé des séquelles physiques importantes).

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Ce n'est qu’après la première guerre mondiale que sont apparus les «monuments au mort» qui sont des monuments pour commémorer et honorer les soldats et plus généralement les personnes tuées ou disparues pendant la guerre.

Il en existe deux types  : → les monuments cénotaphes: ils ne contiennent pas de corps et ils sont placés généralement au centre d'une ville ou d'un village. 8.jpg → les Mémoriaux : monuments nationaux placés sur les champs de bataille. Ils abritent les tombes de soldats. 9.jpg

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Le mémorial australien du Hamel a été érigé en pleine campagne, sur les hauteurs de Le Hamel en 1998 dans le département de la Somme non loin de Villers-Bretonneux et Corbie.

Le Parc mémorial du Corps de l’armée australienne se situe plus précisément sur le chemin de Sailly Laurette, non loin du village.

La bataille du Hamel eut lieu le 4 juillet 1918. C'est en fait une attaque planifiée par les troupes de l'Australian Imperial Force contre les positions allemandes, pendant la Première Guerre mondiale. → Cette bataille opposa les États-Unis, l'Australie et le Royaume-uni face à l'Empire allemand. → C'est le 4 juillet 1918 que le lieutenant-Général Monash, chef du corps d'armée australien, souhaita s'emparer du village de Le Hamel au nord-est de Villers-Bretonneux et il y parvint en 90 minutes avec seulement 7.500 hommes. En effet, la bataille commença à 3 h 10 du matin par l'attaque des chars qui protégeaient les fantassins « jeunes soldats ». Les Australiens écrasèrent les barbelés ennemis et les mitrailleuses couvrirent l'assaut de l'infanterie. 12.jpg 13.jpg

À 4 h 35, ils avaient chassé les Allemands d’une série de tranchées et d’abris enterrés au sommet de la colline. Aujourd’hui se dresse à cet endroit le Mémorial du Corps d’armée australien, qui offre une vue panoramique sur la vallée de la Somme. On trouva que c'était un endroit approprié pour commémorer les victoires du Corps d’armée australien en France en 1918. 14.jpg

Au total, le nombre de victimes de cette bataille s'éleva à :
1 062  australiens (dont 800 morts)
176 victimes américaines (avec près de 100 morts)
2 000 allemands morts, 1 600 d'entre eux furent fait prisonniers et un nombre important de pièces d'artillerie furent prises.

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Le mémorial est construit avec des pierres venues d'Australie qui composent les trois murs arrondis.

→ Sur le panneau central on distingue le symbole de l'Australian Corps → Un parcours pédestre agrémenté de plusieurs panneaux explicatifs permet de comprendre les différents aspects des combats qui se sont déroulés en ce lieu. Des vestiges de tranchées sont encore visibles non loin du monument. Sans_titre.png

Cette tranchée était allemande durant une grande partie du conflit.

Les Allemands y avaient installé un poste d’observation et ils utilisèrent la nature du relief pour renforcer leur défense car de là ils pouvaient dominer toute la campagne environnante et

couvrir leur propre terrain. 18.jpg 19.jpg

Le mémorial du corps d'armée australien de Le Hamel commémore le rôle des soldats australiens dans les batailles décisives de 1918. Il a été inauguré à l'occasion du 80ème anniversaire de la bataille de Le Hamel, le 4 juillet 1998. 20.jpg

Lauryne Labalette

mardi, décembre 27 2016

Le trésor de guerre de Vignacourt

Vignacourt est un village situé au Nord d’Amiens dans la Somme. Ce village était une importante base arrière pour les Australiens. Cette base servait de refuge aux soldats pour y être soignés, entrainés mais aussi pour y être photographiés.

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En 2011, 4000 photos de soldats passés dans ce village ont été découvertes dans de très vieilles malles entreposées dans un grenier de Vignacourt. En effet, sans la passion et la tenacité de Laurent Mirouze ce trésor n’aurait probablement jamais était découvert. Ces photos font alors ressurgir des années d’histoire qui ont longtemps été oubliées.

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Ces photos sont particulièrement exceptionnelles notamment grâce à leur qualité et à leur état de conservation grâce au support qui avait été utilisé à l’époque. En effet, ces 4000 clichés ont été imprimés sur une plaque photographique en verre. Ce matériau est très résistant et permet aux images d’être développées à nouveau malgré les 100 années qui les séparent. Mais aussi au savoir faire du couple de Vignacourt notamment grâce à la toile tendue derrière les sujets représentant un bâtiment antique figurant dans la majorité des clichés pris dans la cour de la ferme.

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Cette collection de 4000 photographies a été vendue au propriétaire de Channel 7 dont 800 clichés ont fait l’œuvre d’un don au War memorial de Camberra. Tous les clichés ont été tirés et numérisés et certains sont exposés à la Maison des Australiens à Vignacourt.

Valentine Chavatte

Le monument aux morts de la 3e Division australienne de Sailly-le-Sec, le 30 Mars 1918

La campagne plut aux soldats australiens, qui étaient heureux de s'éloigner des tranchées et de s'aventurer dehors.

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Sailly le Sec était "rempli de nourriture" les unités découpèrent le village en différentes parties et récoltèrent suffisamment de nourriture pour faire 3 repas par jour. Il y avait beaucoup de vin, l'eau avait en général mauvais goût.

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La douleureuse réalité de la guerre attendait les Australiens à Sailly le Sec. Il n'y avait que 18 français âgés de 50 à 80 ans qui ne voulaient pas abandonner leurs foyer.

Lorsque les combats se sont intensifiés tous ces gens furent évacués sauf une vieille femme de 80 ans qui est restée dans le village.

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Les Allemands lancent une attaque le 29 Mars, mais à chaque fois les attendait une pluie de tirs. À partir de ce moment, les Allemands n'avancèrent jamais plus loin sur ce front.

Les Australiens, avec le soutien des unités britanniques, tenaient là indubitablement une victoire.

Après la guerre, la 3e division avait le choix entre différents endroits pour y ériger leur monument aux morts (comme à Messines en Belgique ou à Péronne).

Mais ils choisirent ce magnifique site au Nord de Sailly-le-Sec, avec des vues spectaculaires un endroit épargné par les obus, les tranchées et la puanteur des champs de bataille.

La Division s'était tant distinguée dans les combats qui, non seulement, ont mis fin à l'offensive allemande mais aussi éliminé toute possibilité que les Allemands prennent Amiens, qu'il était devenu presque naturel de choisir ce site où ériger leur monument aux morts cet endroit sur la ligne qu'ils occupèrent en premier lieu dans des circonstances historiques.

Glwadys Magniez

La bataille de Gueudecourt (novembre 1916)

Entièrement détruit pendant la Grande Guerre, le village de Gueudecourt a été reconstruit dans l'entre-deux-guerres. Après la guerre, le territoire de la Terre-Neuve y plaça le mémorial du Caribou dans un petit parc du champ de bataille contenant une portion de tranchée d’origine. Les hommes du Régiment de Terre-Neuve arrachèrent les tranchées dans cette zone des mains allemandes le 12 octobre 1916, et ce fut le point le plus avancé de l’Empire britannique durant la bataille de la Somme, qui commença le 1er juillet 1916 et s’enlisa et prit fin autour de Flers lors d’offensives australiennes et britanniques début novembre. La bataille de la Somme prit fin le 18 novembre par l’arrêt des offensives alliées, c’était les Australiens qui tenaient cette tranchée.

1.png Mémorial du CARIBOU Terre- Neuvien 2.png Soldats australiens dans les tranchées de Gueudecourt

La durée de la bataille de la Somme fut de 141 jours.

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La bataille de la Somme a été d'une ampleur considérable, par le nombre de nationalités impliquées, de morts, de disparus ou de blessés de part et d'autre, par l'ampleur des destructions. L'armée britannique était composée de troupes provenant des 4 coins du monde et membres du Commonwealth : l'Angleterre, l'Ecosse, le Pays de Galle et l'Irlande du Nord pour le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, l'Union d'Afrique du Sud et Terre-Neuve encore colonie britannique à l'époque.

Le circuit du Souvenir permet de se recueillir et de découvrir les principaux sites des champs de bataille. La bataille de la Somme se singularise par deux innovations : Sur le plan militaire, par l'utilisation, pour la première fois sur un champ de bataille, d'une arme nouvelle, le char d'assaut ; Par l'utilisation du cinéma à des fins de propagande. Pour la première fois, un film, La Bataille de la Somme, saisit une grande partie des horreurs de la guerre moderne en incluant des images tournées lors des premiers jours de la bataille. Entre mars 1916 et novembre 1918, plus de 295 000 Australiens servirent dans les rangs des forces armées impériales australiennes. Parmi eux, on compte quelque 132 000 blessés et 46 000 morts. À quelques années seulement du centenaire de la Première Guerre mondiale (1914-1918), un nombre croissant d’Australiens visitent des sites de l’ancien Front. Ils se rendent à Pozières où, en 1916, en un peu plus de six semaines, les forces armées impériales australiennes déplorairent 23 000 morts ; ou sur les champs de la Flandre belge où, sur la seule période d’octobre 1917, pas moins de 6 673 Australiens perdirent la vie et 13 328 furent blessés, portés disparus ou faits prisonniers de guerre. Partout, des monuments aux morts et des cimetières marquent l’emplacement des pertes que subirent cette nation et les familles des combattants.

Tapie Elisa

La bataille de Étinehem-Bray-Proyart-Chuignes-Lihons (août 1918)

Août 1918 A Etinehem, la 13e Brigade (qui est la 4ème division de l’armée australienne) s’empara d’Etinehem.

Les Australiens continuèrent sur leur lancée et s’emparèrent de Bray-sur-Somme dans le cadre de leur avancée générale lancée le 8 août.

Quelques jours après leur offensive du 8 août, la 10e Brigade (qui est la 3ème division de l’armée australienne) s’empara de Proyart.

Lors de la Deuxième Bataille d’Albert, l’armée australienne s’empara de la Crête de Chuignes qui surplombait la Somme.

La 1re Division de l’armée australienne s’empara de Lihons.

1.jpg 23= Etinehem 24=Bray-sur-Somme 25=Proyart 26=Chuignes 27=Lihons Sources : http://www.ww1westernfront.gov.au/french/australian-remembrance-trail/where-australians-fought.php

Maxime Ponchel