Chant de guerre et poèmes australiens

Voici une liste non-exaustive des chants et/ou poèmes Australiens. Ces textes seront suivis d'une traduction personnelle, pouvant donc contenir des erreurs de traduction. Merci de m'en excuser.

Thomas Royez

"For the Fallen / The Ode "

"With proud thanksgiving, a mother for her children, England mourns for her dead across the sea. Flesh of her flesh they were, spirit of her spirit, Fallen in the cause of the free.

Solemn the drums thrill: Death august and royal, Sings sorrow up into immortal spheres. There is music in the midst of desolation, And a glory that shines upon our tears.

They went with songs to the battle, they were young, Straight of limb, true of eye, steady and aglow. They were staunch to the end against odds uncounted, They fell with their faces to the foe.

They shall grow not old, as we that are left grow old, Age shall not weary them, nor the years condemn. At the going down of the sun and in the morning, We will remember them.

They mingle not with their laughing comrades again; They sit no more at familiar tables at home; They have no lot in our labour of the day-time; They sleep beyond England’s foam.

But where our desires are, and our hopes profound, Felt as a well spring that is hidden from sight, To the innermost heart of their own land they are known As the stars are known to the Night;

As the stars that shall be bright when we are dust, Moving in marches upon the heavenly plain, As the stars that are starry in the time of our darkness, To the end, to the end, they remain."

Laurance Binyon (1869 – 1943)

Traduction : " De fiers remerciements, d'une mère pour ses enfants; L'Angleterre déplore ses morts d'outres-mer; La chair de sa chair, l'essence de son corps vacant, Tombés pour la liberté;

Le son solennel des tambours: La mort d'Aout et royale, Ce chant douloureux montant vers des cieux immortels On entends une musique dans la désolation, Et la gloire se lève sur nos larmes,

Ils sont venu avec des chansons, ils étaient jeunes; Les membres forts, la vérité dans les yeux, stables et étincellants; Forts jusqu'a la fin, contres des chances innatendues; Ils tombent avec leurs visages vers leurs ennemis;

Ils ne vieilliront pas, comme nous qui sommes restés vieillirons, l'age ne les usera pas, ni même le poids des années, au coucher du soleil et au matin, on se souviendra d'eux;

Ils ne parleront plus avec leurs camarades riants, Ils ne siègeront plus a la table familiale, Ils n'ont pas de place dans notre travail du jour, Ils reposent au delà de l'écume d'Angleterre;

Mais là où sont nos désires et nos espoirs profonds, Ils se sentaient comme un puit, caché des regards, Ils sont connus au plus profond des coeurs des habitants de leurs pays, Comme les étoiles sont connues dans la nuit;

Tout comme les étoiles devraient briller quand nous sommes poussière. Se déplaçant sur les marches de la plaine celeste, Jusqu'à la fin, jusqu'à la fin, ils resteront

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