samedi, 2 avril 2016

Le bleuet et le coquelicot

Article de Monique Bonvallet pour le n°166 du magazine Généalogie & Histoire dans lequel l'auteur nous explique l'histoire du coquelicot et du bleuet.

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samedi, 31 janvier 2015

Louis Morel (1886-1976): un héros de guerre

par Lysa Morel (1S2)

Louis Morel était le père de mon arrière-grand-père.

Louis travaillait à la ferme de ses parents, rue Morel. Quelques mois après son mariage, la guerre 1914-1918 fut déclarée, et faisant son service militaire il fut réquisitionné. Il avait alors 28 ans.

Ce dernier exécuta son rôle comme tel. On lui confia d'abord un vélo, qui, au chemin des dames (Aisne), lui permettait de porter des missives (lettre à donner au plus vite) d'un régiment à un autre. À la fin cette guerre, s'étant comporté comme glorieux soldat, puisqu'il était cité à l'ordre de la Nation pour ses actes de bravoure, il obtint la croix de guerre avec deux citations et la médaille militaire.

Sur cette photo Louis est en tenu de Hussard et tient un fusil lebel model 1886.

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mardi, 27 janvier 2015

Reçu pour un don en or pour la France (1915)

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lundi, 12 janvier 2015

La bataille des Monts de Champagne

Bataille des Monts de Champagne 1917

(par Marine Kimpe)

La bataille des Monts de Champagne est un épisode de la Première Guerre mondiale qui se déroule du 17 avril au 20 mai 1917. Elle s'inscrit dans le cadre d’une offensive et a pour objectif principal la prise des sommets.

La bataille a lieu à l'est de Reims, entre Prunay et Aubérive, en Champagne, le long du massif de Moronvilliers qui comprend sept plateaux, d'ouest en est : le Mont Cornillet, le Mont-Blond ), le Mont-Haut , le mont Perthuis , le Mont Casque le mont Téton  et le Mont-Sans-Nom .

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  Côté allemand entre Suippes et Vesle, région où doit opérer la IVe Armée, s'étend un plateau surmonté de collines formant deux massifs principaux: le Mont-Berru et les Monts-de-Moronvilliers, mur d'une dizaine de kilomètres de long, dominant la plaine de Châlons vers le village de Beine, organisé par les Allemands. Les positions allemandes sont au nombre de 5 et s'étendent en profondeur sur 9 à 10 km. La première, au pied des hauteurs avec au moins 3 lignes de tranchées; la deuxième, sur le côté sud des pentes, avec les tunnels; la troisième, sur le côté nord des pentes; la quatrième, au pied nord des hauteurs, c'est une position de repli; la cinquième.Le front de Champagne ennemi est tenu par la IIIe Armée de Von Einem et se divise en 5 secteurs: de Béthény à Prosnes ; de Prosnes à Sainte-Marie-à-Py; de Sainte-Marie-à-Py à Tahure; de Tahure à Rouvroy; de Rouvroy à l'Argonne, soit en tout 52 régiments groupés en 17 divisions.

Le général allemand Erich Ludendorf:

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Le commandant français Gouraud:

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     Côté français Trois corps d'armée s'étendent de la Ferme des Marquises à Massiges. Seuls les VIIIe. et XVIIe doivent mener l'attaque; le XIIe n'ayant que des objectifs precis. Sur les 18 km du front d'attaque, on trouve 1 600 canons répartis en 47 batteries de tranchées, 75 batteries de campagne, 78 batteries d'artillerie lourde courte, 44 batteries d'artillerie lourde longue, 4 canonnières fluviales. Au VIIIe. se trouve l'artillerie d'assaut du groupement Lefèbvre, avec 3 groupes de 16 chars et 1 section de ravitaillement. Enfin, 22 escadrilles et 11 compagnies d'aérostiers couvrent le front d'attaque de la IVe Armée. 

Depuis 1914, les Allemands contrôlent les hauteurs, qui sont d’excellents points d’observation ; les Français sont installés dans la plaine, au Sud.

 

- Le 17 avril 1917, à 4h45, sur un peu moins de 20 kilomètres, les Français lancent une attaque qui entre dans la cadre de l’offensive Nivelle.

- Les résultats de la première journée sont décevants pour les autorités françaises, mais la première ligne allemande est franchie. Le 20, les Français parviennent sur les hauteurs mais ils doivent faire face à des contre-attaques terribles dans de conditions difficiles. Les Allemands utilisent notamment le tunnel du Cornillet pour faire parvenir en première ligne des renforts avec  sécurité. Les soldats français parviennent à s’accrocher tant bien que mal à leurs positions, tandis qu’un nouvel assaut est lancé et qu’un obus endommage le tunnel le 20 mai, évacué après l’asphyxie de 600 Allemands.

 L’offensive sur les Monts de Champagne s’arrête après le 20 mai 1917, sur cette « victoire » française (environ 6 000 Allemands sont prisonniers). Coté français : 187 000 victimes (morts ou blessés) , coté Allemand :163 000 victimes (morts ou blessés)

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Sources :

http://www.lamarne14-18.com/fr/lepop%C3%A9e-des-monts-de-champagne

http://www.memoiresdesmontsdechampagne.fr/les-monts-de-champagne/bataille-du-15-juillet-1918

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_des_monts_de_Champagne_%281917%29

dimanche, 7 décembre 2014

Appareil photo Kodak

Par Bastien Lila

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Dictionnaire

Par Bastien Lila

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Cartes postales

Par Bastien Lila

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Lampe à vélo

Par Bastien Lila

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Croix latines fabriquées à partir de balles

Par Bastien Lila

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Encrier (fabriqué à l'aide de balles et d'obus)

Par Bastien Lila

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Gourde allemande, française et canadienne (de haut en bas)

Par Bastien Lila

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Pinces universelles françaises

Par Bastien Lila

39.jpgLa première en haut à gauche serait britannique

Chaines pour les chevaux

Par Bastien Lila

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Grenade française en fonte

Par Bastien Lila

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Klaxon

Par Bastien Lila

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Képi fabriqué à l'aide de balles et d'embouts d'obus

Par Bastien Lila

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Obus français de 37 mm

Par Bastien Lila

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Dégoupilleur de grenades à distance

Par Bastien Lila

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On attachait la grenade au niveau de l'attache. Puis on passait son poignet dans la languette et on lançait. La grenade était dégoupillée et envoyée chez l'ennemi.


Tête d'obus

Par Bastien Lila

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Pelle pioche anglaise

Par Bastien Lila

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