mardi, 25 novembre 2014

La bataille de l'empereur

La Bataille de l’Empereur

21 au 31 mars 1918

(par Thomas Vicart)

Le plan

Le plan conçu par Lundendorff est simple. Il s'agit d'un coup de massue porté en un seul point, convenablement choisi. Saint-Quentin, là où est la soudure des forces anglaises et françaises. Le Grand Etat-major allemand sait que la principale faiblesse de l'Entente est l'absence d'un commandement unique.

Si les Allemands réussissent à pénétrer en coin entre les Anglais et les Français, les deux grands alliés ne seront vraisemblablement pas capables de coordonner leurs efforts.

Ainsi, même s'ils avaient l'intention, ce qui est peu probable, de mettre leurs réserves en commun, Français et Anglais, préoccupés chacun du sort de leur secteur, conserveront jalousement leurs disponibilités et laisseront l'offensive allemande progresser librement.

L'attaque 

Le 21 Mars le front s'enflammait de la mer à la Suisse; et, en maints endroits, se déclanchaient des préparations d'artillerie avec un Luxe de munitions. Cependant, cette préparation fut particulièrement violente dans la région comprise entre la Scarpe et Vendeuil.

Grâce aux canons de calibres inconnus, à des obus toxiques, les Allemands réalisèrent encore une fois la zone de mort intègrale sur ce front de 80 kilomètres. 

C'était surtout sur l'effet moral produit par les obus toxiques que Ludendorff comptait pour forcer la victoire.

Il y avait depuis la Scarpe jusqu'à la route de Péronne à Cambrai, deux Armées britanniques: la 3e, du général Byng, le vainqueur du Cambrésis, avec 9 divisions en première ligne et 5 en deuxième ; et au sud, s'étendant jusque dans la forêt de Saint-Gobain, où elle se soudait aux Armées françaises, la 5e Armée du général Gough, avec en première ligne 10 divisions d'infanterie et en deuxième ligne 3 divisions infanterie et 3 divisions de cavalerie.

Le quartier général de Byng était à Albert, celui de Gough à Nesle.Byng a 6 divisions entre Croisilles et La Vacquerie; Gough en a 10 de la Vacquerie à La Fère.Contre ces 16 divisions se ruent, à partir de 9h30 du matin, 37 divisions allemandes appartenant à la 3e Armée du général von der Marwitz, à la XVIIe Armée d'Otto Von Below, flanquant l'attaque au nord; à la XVIIIe Armée de von Hutier, l'appuyant au sud.

Au contraire, l'Armée de Gough qui se croyait en sûreté parce que la plus grande partie de son front était couverte par les marais de l'Oise, fut surprise.

Les marais de l'Oise étaient à sec ; ils n'arrêtèrent pas ces colonnes d'assaut allemandes et celles-ci submergèrent les tranchées britanniques. Dans la soirée, la 5e Armée était rejetée derrière le canal de Crozat, entre Saint-Simon et Tergnier, et cette dernière localité était même enlevée par l'ennemi.

En somme, cette journée, au cours de laquelle ces Allemands, profitant de tous les avantages d'une longue préparation et de tous les effets de la surprise, avaient engagé contre 16 divisions britanniques, outre leurs 37 divisions de première ligne, 27 divisions de renfort, soit un total de 64 divisions, avaient creusé dans le front de nos Alliés deux poches inégales : l'une, assez faible, dans la région de Croisilles, en direction de Bapaume; l'autre plus importante, de La Vacquerie à La Fère, en direction de Ham. Mais, dès que les guetteurs britanniques ont signalé les masses allemandes quittant leurs tranchées, le maréchal Haig, prévenu, a immédiatement téléphoné au général Pétain qui, sans perdre une minute, a alerté ses réserves.

La nuit du 21 au 22 mars

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jeudi, 20 novembre 2014

La seconde bataille de la Somme

Seconde Bataille de la Somme (août-septembre 1918)

(par Solène Sottiez) 

La seconde bataille de la Somme se déroula d’août à septembre 1918 sur le Front de l’Ouest qui oppose l’Entente (Royaume-Uni, Australie, Nouvelle Zélande et Etats-Unis) qui sont sous les commandements de Douglas Haig, Henry Rawlinson, Arthur Currie, John Monash à la triple alliance (Allemagne) qui ont pour commandements Erich Ludendorff.

Les forces présentes sur le front sont la IIIème et IVème armée britannique, le corps canadien, australien et le IIème corps des Etats-Unis pour l’Entente. Et pour l’Alliance, les forces présentes sont la IIème armée allemande.

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L'offensive alliée sur la Meuse-Argonne (septembre-novembre 1918)

Offensive alliée sur la Meuse - Argonne (septembre-novembre 1918)

(par Manon Gamand) 

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Cette offensive, qui s’étend du 26 septembre au 11 novembre est la dernière attaque de la première guerre mondiale (1914-1918) qui est également la plus grande opération et victoire de l’Américan Expeditionary Force, qui est le corps expéditionnaire américain en Europe, constitué le 3 mai 1917 et dirigé par John Pershing.

Cette offensive regroupe 3 grandes phases :

·      du 26 septembre au 3 octobre, il y’a la bataille de Champagne et d’Argonne.

La première armée américaine du général John Pershing lance, la bataille d’Argonne, au nord de Verdun.

Cette bataille fut prévue par Ferdinand Foch, pour que les allemands décident d’abandonner leurs défenses sur le système de défenses et fortification au nord est de la France, « la ligne Hindenburg » pour qu’ils finissent ensuite par capituler.

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Cette première armée d’un million d’hommes, est répartie en 3 corps, et est aux cotés de la 4ème  armée américaine du général français, Henri Gouraud. Les forces américaines font face aux armées allemandes du général Max Von Gallwitz. Les français et les américains déploient 37 divisions tandis que les allemands n’en ont que 24.

Cette première phase va contenir trois batailles (bataille de Montfaucon, bataille de Somme-Py, bataille de Saint-Thierry)

 

·      Du 14 au 28 octobre, la deuxième partie de l’offensive franco-américaine de l’Argonne débute le 14 octobre après une réorganisation où les forces américaines impliquées dans la bataille ont été divisé en deux armées.

-       La première est dirigée par le général Hunter Liggett, elle avance au nord malgré l’acharnement des allemands.

-       La seconde armée qui est dirigée par Robert Lee Bullard se dirige vers le nord-est entre la Meuse et la Moselle.

Ces troupes de John Pershing percent la troisième et dernière ligne de défense allemande.

 

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·      Du 28 octobre au 11 novembre, a lieu la troisième et dernière phase de l’offensive de l’Argonne.

La première armée américaine dirigée par Robert Lee Bullard prend donc son avancé vers le nord pour perçait la défense allemande de Buzancy ce qui va permettre à la quatrième armée française de traverser l’Aisne.

La résistance allemande finit par s’écroulait et les forces américaines progressent dans la vallée de la Meuse en direct de Sedan.

L’offensive prend fin le 11 novembre 1918, lors de la signature de l’armistice.

Avec cette offensive d’Argonne on comptera alors 26 000 pertes de soldat, ainsi que 96 000 blessé depuis le début de l’offensive.

 

Les offensives allemandes mars-avril 1918

Les offensives allemandes mars-avril 1918

(par Clément Ruols)

Ces offensives allemandes de mars-avril 1918 peuvent se résumer clairement en 2 grandes offensives :

- Déclenchée le 21 mars 1918, l’opération « Michael » frappe par surprise les troupes britanniques qui y sont déployées. Utilisant leur supériorité numérique (58 divisions contre 16), les Allemands réalisent en quelques heures une large trouée dans le front britannique. Plusieurs divisions sont littéralement détruites, comme la 16e (irlandaise), la 36e et la 66e. Les unités qui n’ont pas été exterminées se replient, pris de panique : les routes sont encombrées, l’artillerie allemande sème le chaos. Amiens se trouve rapidement menacé, ce qui oblige les Britanniques à envoyer massivement des réserves pour tenter de combler la brèche. La panique s’empare alors des dirigeants politiques et militaires français et anglais. La peur d’un effondrement complet pousse à la mise en place d’un commandement unique, afin d’assurer la coordination de l’ensemble des forces alliées. L’avance allemande commence à ralentir au bout de quelques jours, à la fois en raison de l’insuffisance de la logistique (les munitions et même la nourriture des troupes sont insuffisantes) et de la résistance croissante de l’adversaire; progressivement, le succès initial et spectaculaire de Ludendorff est en train de se transformer en défaite…

- La seconde phase de l’offensive allemande (opération « Georgette », également connue sous le nom de « bataille de la Lys »), est lancée en Flandre française le 9 avril. Pour Ludendorff, elle fait figure de « quitte ou double ». Le scénario se révèle identique au premier épisode : une percée spectaculaire sur la Lys, la prise rapide d’Estaires (9-10 avril, accompagnée de l’incendie de la ville) et de la crête de Messines(10-11 avril), une avance vers Hazebrouck qui vient mourir à proximité de ce carrefour ferroviaire de grande importance (12-15 avril), la destruction et la capture de Bailleul (12-15 avril), une première bataille sur le Mont Kemmel (17-19 avril), un nouvel échec pour atteindre Béthune qui entraîne, de rage, le bombardement massif de tout le centre de la ville. Plusieurs divisions britanniques se sont efforcées d’enrayer l’attaque allemande avec des moyens souvent dérisoires. Ce sont des unités françaises qui subissent le bombardement apocalyptique de la « seconde bataille du Kemmel », les 25 et 26 avril. Malgré l’ampleur de leurs pertes, les Alliés parviennent à stabiliser le front. Le 29 avril, la Kaiserschlacht s’achève par un constat d’échec.

Bilan : Le bilan des pertes humaines est considérable, dans les deux camps, en raison du volume et de la durée de la double offensive. Les Britanniques ont perdu 236 000 hommes entre le 21 mars et le 29 avril 1918 ; la structure des pertes est très particulière : assez peu de tués (20 000…), beaucoup de disparus (120 000), pour la plupart des prisonniers. Les Français ont moins de pertes en nombre (92 000), mais la proportion des tués est considérable pour les unités engagées au Kemmel. Quant aux Allemands, ils ont perdu, dans la même période,  348 000 hommes.

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Cette carte nous montre bien les fortes avancées allemandes et les résistances françaises. On peut également voir que les offensives allemandes ont duré jusqu’au 17 juillet 1918…

Source : http://www.cheminsdememoire-nordpasdecalais.fr/lhistoire/batailles/loffensive-allemande-du-printemps-1918-la-kaiserschlacht.html

 

 

mardi, 18 novembre 2014

La seconde bataille de la Marne, juillet 1918

La seconde bataille de la Marne, juillet 1918

(par Florian Paris)

 

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La première guerre mondiale est la guerre la plus meurtrière de toutes, cela notamment a cause de ses nombreuses batailles et de ses nouvelles technologies comme les chars et les gaz (normalement interdit durant la guerre car considéré comme inhumain)

Cette guerre se déroule du 3 aout 1914 au 11 novembre 1918, elle a fait des dégâts énormes autant humains que matériels (9,7 millions de soldats morts et 8,9 civils décédés), c'est une guerre totale.

 

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Vers la fin de la guerre une bataille primordiale pour la liberté de la France va se dérouler à la Marne, principalement du 15 au 20 juillet 1918 mais qui va trouver ses "racines" vers Mars 1918.

Après une percé de 50km dans la Somme le 21 Mars 1918 lors de l'opération Michael, Les équipes spéciales de troupes d'assaut allemandes sont arrêtées brusquement car le commandant Erich Ludendorff concentre trop de troupes vers Arras.


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Erich Ludendorff


Il les ramènera vers lui le 28 Mars 1918, cependant trop tard, les alliés avaient confié au commandant Foch le commandement du front Ouest. Il boucha la dangereuse brèche créée en Somme. L'offensif Allemandes Michael est arrêté dans la région de Montdidier.


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Ferdinand Foch.


Suite a cette percée , Ludendorff n'a pas dit son dernier mot , avec 42 divisions sous le commandement de Von Boehn, chef de la VIIe Armée , il lance une nouvelle offensive le 27 Mai dans L'Aisne à partir du Chemin des Dames. Leurs offensives étant mal organisées,  ils subirent eux même des attaques au Gaz Moutarde. Cette bataille ne durera que 10 jours en raison de l'épuisement Allemands, les troupes françaises avaient résistés !

Ludendorff recommence une nouvelle attaque frontale en ayant pour but de séparé les armées Alliées du nord et celles de l'Est  en passant par la Marne.

C'est alors que le 15 juillet la 2nde bataille de la Marne commence.

Pour éviter la progression Allemande, les avions alliés vont bombarder les ponts jetés sur la Marne toute la journée du 15 juillet. Cependant quelques troupes ennemies ont réussis a passer et ils reconstruisent des ponts moins vulnérables .Après avoir détruit les ponts, les avions mitraillent les troupes arrivées sur la rive Sud.

Ayant totalement échoué en Champagne, le commandant Ludendorff renonce a son ancienne tentative, il va chercher a contourné Reims par le sud au lieu de contournée la ville par l'Est.

Croyant les ressources françaises épuisées, Ludendorff va tenter une manœuvre périlleuse, il va s'acharné sur la ville d'Epernay. Il épuise beaucoup de ses troupes dans cette bataille et est pourtant repoussé.

Au prix de 4000 morts et 4000 prisonniers, les troupes Italiennes parviennent à stopper l'offensive Allemande et les empêche d'atteindre leur objectif, la ville D'Epernay.

Suite a cette défaite Ludendorff doit se défendre contre des retours offensifs Alliés.

Cette bataille aura fait un total de 293 000 morts des deux côtés ,mais aussi 3 300 mitrailleuses , 500 canons et 35 000 prisonniers du côté Allemands .

 

Source : http://chtimiste.com/batailles1418/1918marne.htm

Wikipedia.

La 4e bataille de Champagne (1918)

4ème bataille de Champagne (1918)

(par Élise Ferlin)

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Le général GOURAUD          

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Le général Karl VON EINEM.     

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Ludendorff

La 4ème bataille de Champagne a eu lieu du 15 juillet 1918 au 18 juillet 1918, dans la Marne dans le nord-est de la France. Cette bataille a opposée les armées françaises (31 divisions), anglaise, américaines (6 divisions) et italiennes (2 divisions) contre l'armée allemande. De notre côté, les généraux présents étaient le général Gouraud, le général Berthelot et le général Degoutte. Du côté adverse il y avait les généraux Karl von Einem (25 divisions), Max von Boehn (30 divisions) et Bruno bon Mudra (22 divisions).

            Depuis le 7 juillet 1918, le général Gouraud savait qu'on se ferait attaqué donc il met en place une deuxième ligne de défense à environ 2km en arrière et le 14 juillet, des prisonniers préviennent que la préparation d'artilleries débuterait à minuit. Donc pour prendre de l'avance sur les Allemands, les français et leurs alliés vont déclencher un tir de contre-batterie une demi-heure avant la préparation ce qui va semer le trouble dans les troupes adverses. Les défenseurs, prévenus des attaques allemandes, s'étaient repliés donc les allemands qui attaquaient trouvaient les premières tranchées françaises au trois-quarts inoccupées. Ensuite il y eut un violent tir de barrage qui forçait les allemands à prendre refuge dans les abris évacués mais ceux-ci étaient piégés à l'ypérite. Les tanks sont détruits sur les cordons d'explosifs. Et le 16 juillet, le général Gouraud regagna les positions abandonnées après un dernier assaut repoussé. 

            Le 15 juillet 1918, la prise du fort de la Pompelle a lieu. Le 16 juillet 1918, les allemands sont poussés en direction d'Epernay et dans la vallée de l'Ardre, Ludendorff (chef de l'état-major allemand) doit se défendre car il y a des retours offensifs des français et des alliés. Le 17 juillet 1918, la situation est stationnaire.

            Du côté du général Gouraud il y a environ 5000 hommes tués contre 40000 du côté du général Von Einem.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Champagne_%281918%29

L'offensive allemande du printemps 1918, la Kaiserschlacht "bataille de l'empereur"

Offensive allemande du printemps 1918 : mai – juin

La Kaiserschlacht « bataille de l’empereur ».

(par Samuel Durteste)

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Dates : 21 mars, 18 juillet 1918

Les protagonistes :                   

Français :   - Le général Pétain, Commandant en chef des Armées Française du nord et du Nord Est          

Britannique :   -Le Field-Marshall sir Douglas Haig en était le Commandant en chef

Belges : -Le général Ruquoy comme chef d'État-major Général

Américain : -Le général Pershing

Allemande :-L'empereur Guillaume, mais sous la direction effective du feld-maréchal Hindenburg, chef d'État-major Général

L’Armée allemande passe à l’offensive :

      Les batailles :

Dans l’Aisne : le Chemin des Dames ; 27 mai au 1 juin 1918

Morts :

283 officiers

5.644 hommes de troupe

Blessés :

1.008 officiers

28.262 hommes de troupe

Disparus :

1.133 officiers

61.830 hommes de troupe


Plus de 60 divisions ont été engagées dans la bataille. Beaucoup ont été éprouvées et sept d'entre elles sont réduites à un millier d'hommes...

Dans l’Oise : vers Compiègne ; 1 au 12 juin 1918

Plus de 60 chars d'assaut gisent détruits sur le champ de bataille. Le nombre des prisonniers a été porté à plus de 15 000.

Bilan :

L’armée alliée remporte cette bataille et gagne la guerre.

En tout l’offensives allemandes (mars – juin) :

Morts sur le terrain, disparus et prisonniers :

145.000 Français (pendant toute la période et sur tous les secteurs du front)

Morts dans les formations sanitaires du front :

13.000 Français (pendant toute la période et sur tous les secteurs du front)

Morts dans les hôpitaux de l’intérieur :

9.000 Français (pendant toute la période et sur tous les secteurs du front)

dimanche, 16 novembre 2014

La bataille de le Hamel

La bataille de le Hamel.

(par Charlotte Bellet)

La bataille de le Hamel eu lieu le 4 Juillet 1918. Durant cette bataille, les Etats-Unis, l’Australie, le Royaume-Uni de la Grande Bretagne et l’Irlande se confrontent à l’armée Allemande. Pendant la première mondiale le général major John Monash se trouve aux commandes de l’armée australienne, sa première bataille. Celui-ci, est né le 27 Juin 1865 à Melbourne et est décédé le 8 Octobre 1931.

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                      Général Major John Monash.

Ce lieutenant mit en place d’importantes tactiques radicalement différentes des tactiques traditionnellement utilisées, à s’avoir les assauts frontaux en masse qui se révèlent être très coûteux en vies humaines. Il savait que des nouvelles innovations technologiques lui présenteraient un réel avantage.

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À la place des bataillons de soutien, il utilise le char d’assaut pour amener l’approvisionnement plus rapidement derrière l’infanterie. Le char avait livré 134 bobines de fils de barbelés, 180 longs piquets à barbelés ainsi que 270 courts, 45 plaques de tôle, 50 bidons d’eau, 150 obus de mortiers de tranchées et 10 000 cartouches de munitions puis 20 boîtes de grenades. Cette méthode fut efficace. Charles Bean, historien et journaliste australien née le 18 Novembre 1879 en Australie et décédé le 30 Août 1968, déclara même que « jamais l’approvisionnement n’avait atteint le front avec une telle rapidité »

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              Charles Bean, journaliste, historien  australien.

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