Ce qui m'a plu dans ce roman d'Amélie Nothomb, c'est qu'elle nous plonge directement et avec beaucoup de simplicité dans l'univers autoritaire du travail japonais. Elle décrit avec un certain humour sa maladresse d'occidentale, sans oublier la façon de penser et d'agir des autochtones dans un pays régi par des codes de conduite. Je reproche cependant à ce roman un manque d'action probablement dû au genre autobiographique d'un texte qui se doit d'être réaliste.