« Doukipondonktan ? »'' se demande Gabriel au début de Zazie dans le métro, certainement le roman le plus connu de Raymond Queneau. Ce danseur travesti dans un cabaret de tantes doit s’occuper de sa petite nièce, Zazie, pendant deux jours.
La petite a la langue bien pendue, ses « mon cul » à chaque fin de phrase choquent, et son histoire est originale… Imaginez que sa mère a fendu le crâne de son père pour la protéger … Bien des péripéties suivent l’arrivée de Zazie à Paris, mettant en scène un bus de voyageurs franchement collants, un vrai-faux flicmane-satyre, la grenadine de Tonton Gabriel… Et bien sûr l’obsession de Zazie pour le métro.