À ma Naissance, j'étais Nue, sur Le Divan de Staline. Sur Le quatrième mur de la pièce il était écrit partout Palladium. À cette époque ma famille vivait à Arden dans les Ardennes, là où l'homme avait crée La première pierre violette. Ma mère me disait toujours: « Il faut beaucoup aimer les hommes » comme dans Le cas Édouard Einstein. C'est pour cela qu'elle m'inscrivit, alors que j'étais une enfant, à L'échange des princesses, une cérémonie organisée pour me marier à un inconnu. Ainsi, à dix ans, je jouais à L'invention de nos vies avec un parfait inconnu. Nous apprenions à nous connaître en chantant à La claire fontaine. Mais, à vingt-cinq ans, je finis par dire Au revoir là haut pour rejoindre Les Évaporés, et me réinventer une nouvelle vie.

Marion