Après un temps d’observation collective, les élèves se sont entretenus avec l’artiste afin d’affiner les choix parmi les prises de vue réalisées la veille. De nouveaux essais ont été réalisés afin d’être au plus proche des intentions visées.
L’ensemble des élèves a réalisé un travail d’écriture poétique qui accompagnera les images lors de l'exposition.
Ange
L’après-midi, nous avons collectivement fait « l’editing », c’est-à-dire la sélection des photographies qui seront présentées lors de l’exposition collective.
La « post-production », le travail qui se passe entre le moment où l’on a pris la photographie et le moment où l'image est diffusée, sera réalisée par Tina Merandon. Il sera question pour certaines images d’affiner les niveaux, le contraste, l’exposition à la lumière en fonction des remarques échangées.
Les photographies sont ensuite confiées à un « tireur » professionnel par le biais de Diaphane Pôle Photographique Hauts-de-France. Le tireur ajuste, en concertation avec le photographe, les derniers calibrages des images et le choix du type de papier photographique pour l’impression.
Une photographie par élèves sera tirée en 30 cm x40cm. Un « encadrement » ( encadreur est aussi un métier) sera réalisé par Diaphane dans un choix de coloris qui convient le mieux à l’ensemble : noir, chêne, hêtre…
Une fois tout ce travail réalisé, un travail « d’accrochage » (c’est la manière d'installer les œuvres à exposer dans l'espace) sera réalisé avec Diaphane. La réflexion sur la mise en espace se fera en amont avec les élèves.
Lorsque tout cela sera en place, l’exposition pourra être inaugurée, célébrée par un « vernissage » ( c’est l’inauguration d'une exposition artistique, la veille de son ouverture officielle, à laquelle sont conviés des invités, du public) . Nous vous informerons bien évidemment lors de la tenue de cet événement.
Tina Merandon, Madame Sabre et moi-même souhaitons remercier les élèves pour leur ténacité dans la pratique et les efforts de concentration sur ces journées.
Tina Merandon poursuit quant à elle sa résidence d’artiste d’un an à Château-Thierry.
Les corps à corps photographiques de Tina Merandon – Libération (liberation.fr)