Abdou :
- Il a un accent ; il est "hyper discret" (p.11)
- Il est arrivé au collège "un jour de janvier" ; "Abdou Traoré. Il avait cet air triste qui ne l'a pas quitté depuis. Un garçon grand, carré d'épaules, avec une peau très noire et de longs cils,et une terrible mélancolie sur le visage." (p. 14)
- Il vient d'Afrique (p. 15)
- Il porte un "blouson vert pomme" (p. 19)
- "On dirait qu'il a pas pioncé depuis dix jours !" (p.32)
- Il vient du Mali (p. 35)
- Il vit dans le foyer Jules Renard (p. 41)
- Sa mère s'appelle Mariama (p. 44)
- "On dormait dans la rue, ça faisait un an.On avait froid et faim pire qu'au Mali. Je toussais beaucoup, je crachais du sang." C'est ce qui a décidé sa mère à l'abandonner pour qu'il soit pris en charge. (p. 47)
- Les raisons du départ du Mali : la pauvreté, le décès du père d'Abdou. Son oncle les a envoyés en France. Un cousin, près de Paris les a chassés. Mariama et Abdou sont donc allés dans le Nord pour passer clandestinement en Angleterre. Ils n'ont pas réussi. (p. 55)
- "Je veux pas de pitié" (p. 56)
- "Ce gars costaud qui avait dormi dehors, il avait peur du char à voile !" (p. 64)
- Mariama a réussi à passer en Angleterre cachée dans un ferry ; Alain, le policier a fait semblant de ne pas la voir. (p. 86)
Sonia :
- Elle vit à Berck-sur-Mer ; elle est amie avec Nathalie. (p. 17)
- Son père est moniteur de char à voile. (p. 18)
- "Une fille comme toi, qui sauve des papillons et des insectes""ça s'inquiète pour les autres". Elle porte un piercing vert au sourcil. (p. 21)
- Elle vit seule avec son père. (p. 29)
- Ils vivent dans un appartement au sixième étage, rue des Dunes. (p. 36 et 42)
- Son père collectionne les papillons. (p. 37)
- Quand sa mère, Myriam, est décédée des suites d'un cancer (p.47), Sonia avait trois ans. (p. 40)
- "c'est comme avoir trouvé un frère, avec l'amour en plus". (p. 56)
- La mère de Sonia a été incinérée, ses cendres ont été jetées dans la mer. (p. 62)
- Sa mère était couturière. (p. 63)
- Le père de Sonia s'appelle Gérard Follet. Sonia ressemble à sa mère. (p. 77)