CPGE Henri Martin

Anne-Lise, 23 ans: 

·         double licence (Histoire / Géographie)

·         Master 2 (Recherche)

·         actuellement en 4è année à l' IEP de Lille

Matthieu, 31 ans:

• Licence de Géographie humaine, spécialité "Tourisme"
• DESS de tourisme
• Chef de projet Tourisme ET
• Pianiste professionnel dans un groupe de gospel depuis peu!

Clémence, 26 ans:

·         Master 1 de Lettres Modernes

·         Master 2 "Métiers de la rédaction"

Anne-Flore, 24 ans:

• Licence de Lettres Modernes
• Master 2 Enfance, Education, Enseignement
• Professeur des Ecoles

Cindy, 22 ans:

•   Licence de Lettres Modernes
• En 3è année à l'ESC d'Amiens
• Parallèlement cursus de Lettres Modernes à l'UPJV

·        

Anne-Laëtita, 31 ans:       

• Licence de Lettres Modernes
• CAPES de Lettres Modernes
•  Professeur de Lettres

·            

Thomas, 21 ans:

·         Ecole de Management politique

Marie, 22 ans:

• Licence de Lettres Modernes
• Master 1 Histoire (Recherche)
• Master 2 Lettres Modernes (Enseignement)

Et maintenant quelques extraits de courriels reçus:

"En y réfléchissant, je pense que mes années à Saint-Quentin ont été déterminantes...  La classe préparatoire m’a surtout donné des connaissances solides et assez généralistes sur lesquelles m’appuyer avant d’entamer tout travail d’approfondissement. De même les méthodes de travail, d’organisation du temps, de rédaction et de recherches enseignées à Saint-Quentin font clairement la différence lors des concours et examens passés... Il en est de même à l’oral des concours. Les nombreuses colles passées, et parfois subies, à Saint-Quentin construisent une excellente formation. Moi qui ai toujours été une élève un peu timide, on loue désormais mon aisance à l’oral"...

Maxime, 26 ans (Double curus anglais / philosophie, en 3è cycle de philosophie à la Manchester Metropolitan University):

"Ce que m'a apporté la prépa ? Une certaine ouverture d'esprit (vue sous l'angle de l'interdisciplinarité), de la méthode, de la culture et une certaine exigence envers moi-même. Derrière la solennité de la chose, mes deux meilleures années d'études."

Sabrina, 27 ans:

"En tout cas, la mention de la prépa sur mon CV m'a permis d'obtenir des postes assez variés (assistante de direction, responsable marketing entre autres) sans autre qualification particulière: ça ouvre vraiment des portes... Mais ces deux ans ont surtout été les premiers où j'ai étudié plus pour le plaisir qu'en pensant au diplôme qui devait suivre! Merci pour tout cela à l'équipe enseignante!"

Aurore, 35 ans (Licence d'histoire, CAPES, Maîtrise, Agrégation):

"J'ai de très bons souvenirs de ces deux années. Je suis une "super ancienne", promo 1996/1998!!! La toute jeune prépa du LHM en était encore à ses débuts! J'ai le souvenir d'une équipe de profs formidable: humaine et motivée, qui n'avait rien à envier à celles des "grands" lycées parisiens... Et ces deux années m'ont permis de réussir à mon tour. J'ai obtenu l'agrégation d'histoire il y a dix ans déjà... Et maintenant, je m'efforce de faire passer ce que j'ai appris en partie ici".

Valérie, 28 ans (Licence de géographie, Maîtrise aménagement, urbanisme et développement des territoires à Lille 1,urbaniste dans un bureau d'études):

"bénéfices :

méthodes de travail, endurance, résistance au stress et à la fatigue, ténacité, dépassement de soi, diversité des apprentissages, souci de la précision et du mot juste, partage avec l'équipe enseignante et les élèves, vie en communauté au sein de l'internat...

une des plus belles périodes de ma vie étudiante même si ça n'était pas facile tous les jours : manque de sommeil, discipline, examens blancs, devoirs sur table tous les mercredis après midis, longues journées de cours suivi des travaux à rendre ou des apprentissages...

mais que de bons souvenirs!!

Joscelin, 22 ans ( en Master d'Etudes Cinématographiques) :

"La trace la plus indélébile de la prépa n’est pas tant sur ma culture personnelle que sur mon développement personnel. J’ai appris à apprendre, non pas par cœur linéairement, mais en me passionnant, en débattant, et en défendant des avis tranchés, en interprétant avec véhémence ce qu’on pouvait m’apprendre (…) J’ai gardé de la prépa des amitiés durables. J’ai mûri dans ce microcosme."

Camille, 22ans:

"Comme beaucoup d'élèves, je suis entrée en hypokhâgne sans connaître l'ENS : tout ce que je savais c'est qu'il s'agissait d'une classe préparatoire aux grandes écoles (au pluriel). Je n'avais alors pas la moindre idée de ce que je ferai par la suite, cette voie me laissait donc deux années supplémentaires pour me décider, tout en suivant une formation d'excellence dans chaque matière... Ainsi, j'ai acquis des méthodes de rédaction, l'endurance nécessaire pour travailler à un rythme soutenu, une organisation fiable, de l'aisance à l'oral et surtout une vaste culture."

Les élèves de TL du Lycée Henri Martin, accompagnés de leurs professeurs de philosophie, nous ont rejoints, après que Madame Loom eut fait une information sur ce qu'est une Classe Préparatoire et sur les perspectives professionnelles qu'elle ouvre.

Nous avons également eu le plaisir d'accueillir Monsieur MUTTE, directeur de l'ESC d'Amiens, qui a rappelé que, pour la troisième année, une "Journée d'études spéciale Khägne" aurait lieu le 4 janvier 2012.