La Mort de Chatterton (1856), par Henry Wallis. (C) Royaume-Uni, Londres, Tate Collection.
Thomas Chatterton (1752-1770), poète anglais.
Poésie :
Louise Labé, Œuvres poétiques (sonnets)
Jean Rousset, Anthologie de la poésie baroque française (à lire au CDI) : Poèmes de la partie III, 1 « L’Eau en mouvement »
Victor Hugo, Les Contemplations (Livre premier « Aurore »)
Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal (« Spleen et Idéal »)
Alfred de Musset, Poésies (« La Nuit de mai », « La Nuit de décembre »)
Arthur Rimbaud, Poésies
Guillaume Apollinaire, Alcools (« Zone », « Le Pont Mirabeau », « La Chanson du Mal-Aimé »)
Francis Ponge, Le Parti pris des choses (« Le Cageot », « Le Pain », « Végétation »)
Guillevic, Terraqué (« Choses »)
* ŒUVRES À LIRE POUR LE 31 MARS 2016.
Guillaume Apollinaire dit son poème « Le Pont Mirabeau », extrait d’Alcools (1913)
Paul Valéry dit son poème « Poésie», extrait de Charmes (1922)
Aragon dit son poème « Les Yeux d’Elsa», extrait de Les Yeux d’Elsa (1942)
Pour écouter Mallarmé, Saint-John Perse et Yves Bonnefoy parler de poésie, se reporter successivement aux billets suivants : 7 février 2013, 2 et 23 avril 2015 ...
Ouverture sur la littérature européenne :
John Keats (1795-1821), « Ode to a Nightingale ». Voici ce qu'en dit Yves Bonnefoy, poète français (1923 - 2016), qui en a proposé une traduction au Mercure de France, en 2000 :
« Faut-il justifier une tentative nouvelle de traduction, quand il s’agit de l’ « Ode au rossignol » ou du «Chant du pasteur errant » ? Je dirai seulement que ces poèmes comptent parmi les plus beaux jamais écrits, et qu’on ne peut que désirer les rencontrer au plus immédiat de soi-même, c’est-à-dire dans la langue où l’on a vécu ses propres découvertes du chant de l’oiseau dans l’arbre ou du ciel où semble veiller la lune (…). » Keats et Leopardi (Quelques nouvelles traductions), Mercure de France, 2000, p. 7
Poème dit par l'acteur Ben Whishaw, qui joue le rôle de Keats dans le film de Jane Campion, Bright Star (2009). La musique est une transposition vocale de la Sérénade « Gran Partita » de Mozart (Adagio).