Feuilleté hier – et photographié par faveur amicale – une petite merveille bibliophilique : Les Ludions de Léon-Paul Fargue, petits poèmes magnifiquement illustrés, ou plutôt exaltés, par Marie Monnier – sur très beau papier. Je n’en connaissais que le poème liminaire, que voici,
mais je ne résiste pas au plaisir d’offrir à la curiosité des lecteurs en visite le quatrain qui suit, potacherie de haute saveur à qui ne boude ni la forgerie verbale ni la facétie un peu lourdingue…