« À la une du Mercenaire, en caractères gras, un bandeau à en-tête avisait le public : Chaque ligne de ce journal est payée. Nous dépendons du gouvernement quel qu’il soit, nous n’écrivons jamais notre propre opinion, sauf quand nous y contraint le plus sordide esprit de lucre. En conséquence nous avertissons nos lecteurs, pour lesquels, individuellement et collectivement, nous n’avons que profond dédain et mépris, qu’ils n’ont pas à prendre au sérieux nos articles, et qu’ils doivent avoir pour nous autant de mépris et dédain que nous le méritons, si toutefois c’est humainement possible. »
mercredi, janvier 2 2008
Petits fours aigre-doux, légèrement épicés...
Par Agnès Orosco le mercredi, janvier 2 2008, 14:36 - Littérature d'Europe centrale et de Russie