vendredi, mai 27 2011

Si l’on récapitule….

... depuis la « pile insurmontable » du 28 mars, c’est-à-dire il y a « pile » deux mois :

J’ai lu :

  • Grøndahl  
  • De Bernières
  • Indridason 
  • Mia Couto
  • et utilisé à l’occasion L’Agenda de l’apprenti écrivain
  • Pas mal avancé dans la lecture d’Antoine et Isabelle, aussi, de Vincent Borel avec qui je m’entretins au Salon du Livre et comment ne pas acheter à un auteur un de ses livres alors même que l’on a bavardé un quart d’heure avec lui ? Mais j’ai calé. Non que l’intrigue ne soit intéressante ni le bouquin attachant, mais une fois encore, je trouve que le travail de l’éditeur est insuffisant. Il y avait à mon avis de quoi trancher dans le vif, dans les dialogues, par exemple, et de quoi resserrer la narration. Dommage. C’est de la part de V.B. une belle entreprise de résurrection romanesque de ses ancêtres espagnols et de la saga familiale sur fond d’Espagne avant et pendant Franco, avec enquête rigoureuse sur une famille de puissants capitalistes lyonnais et internationaux.
  •  Une des nouvelles de Jacques Dalodé, aussi, (Très Bonnes nouvelles du Bénin ) que m’offrit mon amie Elisabeth, j’y reviendrai dès que j’aurai ré-exhumé le livre !!!! 
  •    Et puis j’en ai lu d’autres, comme Un Bûcher sous la neige de Susan Fletcher, qu’il faut que je chronique, ou Solaire, et Nada, que j'ai chroniqués.    

            Avec tout ça, il en reste quand même neuf, de la pile, et pas que des tout fins genre Hongrie d’Anne-Marie Garat, avec qui je m’entretins aussi. Ben, je suis pas sortie de l’auberge…


Autre rose, plus évidemment « lèvres » que la précédente. Mais moins délicatement sensuelle. Photographiées  avant que battue(s) de pluye ou d’excessive ardeur, /Languissante(s)elle(s) meur[ent], fueille à fueille déclose(s).

De pluye, guère, hélas, mais pour le vent et l’excessive ardeur, ils font leurs dégâts.