lundi, janvier 21 2008

La Ferme de Navarin de Gisèle Bienne

Comment ai-je pu ignorer si longtemps que le 21 janvier, c’était AUSSI la date de la mort de Cendrars ??? je le découvre, (ce n’est pas possible ! je l’avais simplement oublié, avec tout ce que j’ai lu, de et sur Cendrars !) en lisant La Ferme de Navarin, de Gisèle Bienne, collection ''L’Un & l’Autre'' chez Gallimard. En tout cas, sautons sur l'anniversaire ! Je viens de finir avec mes élèves l’étude de la Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France – au passage, que les collègues qui en auraient marre de croiser ce texte sur ma liste de bac m’en excusent. C’est l’éblouissement de mes seize ans, et jusqu’aujourd’hui, j’ai rarement eu la déception de ne pas le voir « marcher ». Mes 1ère L cette année en sont tombées amoureuses. Le bonheur d’entendre, après avoir récité les premiers vers de ce long poème de 449 vers / versets ? libres : « C’est beau ! » pardon pour les blasés que la réaction ferait sourire. Bonheur de le lire et de l’entendre, elles veulent en faire une lecture à voix haute. Il y a tant de poètes que j’aime, mais le Cendrars de la Prose, c’est le plus flamboyant.

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Cendrars bienne.TN__.jpg, mai 2010

 

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