"Un ptit mot sur la porte..."

Des lecteurs fidèles de ce blogue se seront peut-être aperçus, çà et là, du goût que j’ai depuis bien longtemps pour ce que Rabelais appela autrefois antistrophe (m.) et qui a été depuis nommé contrepèterie ou contrepet.

Aimable surprise, j’ai reçu hier en présent improvisé le petit volume historico-théorique, avant d’être pratique, représenté ci-dessus, dont je découvrais l’existence.

"Une sorte de rage qui tient lieu de verve...."

Les dessins ne valent pas grand-chose, mais ils illustrent les solutions des contrepets proposés. Lesquels se complaisent, selon la tradition, dans le « malhonnête », que les gens bienséants ou de bon goût veuillent bien passer leur chemin... Pour les autres, petit entraînement ? En matière de "Redoute", il y en a un fameux catalogue.










Commentaires

1. Le lundi, janvier 7 2013, 09:31 par Anne d'Evry

Derrière "Un petit mot sur la porte" se cache un contrepet très rabelaisien, pas du tout honnête.
Pour toi Agnès, et les fidèles lecteurs de ton blog, ce double cadeau pour l'année nouvelle:
"Les apôtres sont douze à partager, ils ont découpé la biche en trente".

2. Le lundi, janvier 7 2013, 16:00 par Agnès

Mouarf ! Elle est un peu en avance sur le calendrier, mais qu'elle(s) est (sont) drôle (s) !

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