CONVOLVULUS - Mot-clé - Goncourt - Commentaires2024-02-18T20:51:22+01:00Agnès Oroscourn:md5:fa6f5f97ade6456febc2f55c1aaec32dDotclearPierre Lemaître – Au Revoir là-haut - Agnèsurn:md5:72d4ea77acf3a7c418ef56ffb16cc2282014-01-05T08:04:15+01:002014-01-05T08:04:27+01:00Agnès<p>Aargh ! <em>Aurélien</em> d'abord, c'est indispensable ! et peut-être, avant <em>Aurélien, Chéri</em> (un peu affecté) mais surtout <em>La Fin de Chéri</em>, qu'Aragon cite dans la préface comme la racine de son propre roman. J'adore ces lignées parfois improbables d"œuvres.</p>
<p>J'ai rencontré cette semaine, en la personne de mon ami libraire Paul, le 1er lecteur désappointé de Lemaître... Tant pis !</p>Pierre Lemaître – Au Revoir là-haut - Anne d'Evryurn:md5:86099530958a5a4aa7c98f4daa610d322014-01-05T01:13:23+01:002014-01-05T07:55:18+01:00Anne d'Evry<p>Vous me donnez, toutes, fort envie de lire Au revoir là-haut.<br />
Aurélien attend depuis quelques années sur mes étagères.<br />
Agnès, je ne peux que te recommander Le Sang noir de Louis Guilloux, avec son étrange personnage de Cripure. (Prof de philo, d'où la Critique de la Raison pure, raccourcie en Cripure par ses élèves).</p>Pierre Lemaître – Au Revoir là-haut - Agnèsurn:md5:f14e9a7e38baeb601ebbfdb12eb64ec42013-12-27T19:55:21+01:002013-12-27T19:55:40+01:00Agnès<p>Bonsoir Sophie,</p>
<p>Je ne lis guère, en ce moment. Mais ça va. Le fakir, ça me dit moyen.</p>
<p>A bientôt ?</p>
<p>Agnès</p>Pierre Lemaître – Au Revoir là-haut - Sophie B.urn:md5:f1e73158fcfb495fdd01936a6a1453f72013-12-27T13:22:25+01:002013-12-27T19:52:24+01:00Sophie B.<p>Je suis ravie qu'il ait obtenu le prix! Le livre et l'auteur sont vraiment sublimes. Pierre Lemaître, je n'arrête pas de lui trouver un côté Pierre Bachelet (mais ça n'a rien à voir!! ) J'avais aussi adoré le livre dont je n'ai plus le vrai titre en tête ni l'auteur: l'histoire du fakir coincé dans l'armoire Ikea, en liste aussi, je crois pour le Goncourt. Entre les deux mon coeur balançait. Au Revoir là-haut, c'était très bien. Sinon, ça va, vous? A bientôt! Bises !</p>Chantal Thomas - L'Échange des Princesses - dasolaurn:md5:8d520ac44648854ab83c5572fc33d9912013-12-06T20:48:55+01:002013-12-07T15:36:16+01:00dasola<p>Rebonsoir, je viens de me le procurer suite à quelques billets élogieux sur ce roman. Ton billet me confirme mon intention de le lire. Bonne soirée.</p>Pierre Lemaître – Au Revoir là-haut - Agnèsurn:md5:c24f919ce4b4be30ad4ae63d76bda4622013-10-23T15:48:24+02:002013-10-23T14:48:46+02:00Agnès<p>Moi itou, et si tel n'est pas le cas, nous considérerons que le succès de bouche à oreille - et médiatique - qui est le sien en est une de fort bon aloi... Les critères d'éloge de nos "collègues" critiques professionnels me laissent très souvent infiniment perplexe (voir "<em>Nue</em>" de J.Ph. Toussaint...) </p>
<p>Agnès</p>Pierre Lemaître – Au Revoir là-haut - Bonheur du Joururn:md5:3fa32894596f4029128c6a5ae1afb1322013-10-23T12:18:17+02:002013-10-23T14:44:59+02:00Bonheur du Jour<p>J'ai beaucoup beaucoup aimé ce livre et j'espère sincèrement qu'il aura une récompense, quelle qu'elle soit.</p>Chantal Thomas - L'Échange des Princesses - Agnèsurn:md5:2e1bcf45ee50c383ea35addfd7829b552013-10-13T15:36:13+02:002013-10-13T14:36:49+02:00Agnès<p>Merci de ta fidélité, Anne. J'espère ne pas être trop docte, quant à moi... Mais l'adjectif était fichtrement précieux, et un peu dévoyé... Et puis j'adore le CNRTL.</p>
<p>Bonne lecture, tu me diras !</p>
<p>A.</p>Chantal Thomas - L'Échange des Princesses - Anne d'Evryurn:md5:bb4542b65995bbb7e25a08a1b29051b52013-10-13T15:26:46+02:002013-10-13T14:34:33+02:00Anne d'Evry<p>Tes billets sont une joie, Agnès. J'aime ton style à la fois recherché et direct (les coups de gueule!).<br />
Mais le prof n'est pas loin. Merci pour le lien avec le CNRTL.<br />
Tes élèves ont bien de la chance, nous aussi.</p>Quignard, pêle-mêle - Anne d'Evryurn:md5:4458eeeac86c09561bde8ec9ef387ac12011-12-06T23:21:29+01:002011-12-07T09:37:23+01:00Anne d'Evry<p>Je viens de lire «Le nom sur le bout de la langue». Après une introduction très datée et localisée (en Normandie, en compagnie de Michèle Reverdy et Pierre Boulez entreprenant de couper un bloc de glace au café qui glisse de l’assiette en s’échappant sous la lame), ce court traité est double : un conte charmant, médiéval, amoureux, intitulé « Le nom sur le bout de la langue ». C’est bien le diable si l’on ne retrouve pas le nom.<br />
C’est suivi d’un petit exploit d’érudition sur Méduses, Gorgones, Silènes et autres Mélusine. Il semble que Quignard enfant fut pétrifié devant sa mère cherchant désespérément ses mots, car cela ressemble à un bout d’autobiographie. C’est une réflexion sur l’écriture et sur le langage, le sexe aussi, bizarrement présent, mais froid. Tout cela est extrêmement intelligent. On adhère à presque toutes les réflexions. On voudrait les retenir, mais quelque chose fait que ça s’échappe, comme le bloc de glace au café de l’introduction.<br />
Il y a quelque chose d’admirable dans l’œuvre de Quignard, et pourtant, ce ne sont pas des livres que j’ai envie de relire.<br />
(J’avais lu et annoté « Pensées secrètes ». Des centaines de réflexions qui ont fait écho en moi. Il ne m’en reste pas une miette).</p>Quignard, pêle-mêle - Agnèsurn:md5:345b564276ed55cd7a8bd62cc26f9ee62011-03-18T23:57:32+01:002011-03-18T23:57:49+01:00Agnès<p>Coucou...</p>
<p>C'est possible, c'est même sûrement juste, mais il y a quelque chose de gelé dans ce livre qui justement me laisse en dehors (j'allais écrire froide ^^...). C'est-à-dire qu'à l'absence de transcendance ne répond rien d'autre qu'une sorte d'érudition virtuose, et c'est ça qui m'est étranger.</p>
<p>Ci veddiamo!</p>
<p>A.</p>Quignard, pêle-mêle - joaneurn:md5:2498dadc28ca6a83edb6548c2641e8cd2011-03-18T18:16:26+01:002011-03-19T08:49:38+01:00joane<p>Il m'a fallu du temps pour comprendre que ce livre illustre avant tout L'ABSENCE et la musique (l'Art ) mise à l'honneur est là pour combler ce vide. Je soupçonne Quignard d'être absent au monde, il n'en est pas de même pour Corneau. La force du film vient de la présence de deux sensibilités totalement opposées. Quant à Depardieu, on ne pouvait pas trouver mieux.</p>
<p>Quignard n'offre pas de solution, c'est un constat simple, il n'y a pas de transcendance. Le jansénisme et son antagoniste, le sexe ( réduit à un petit zizi gelé), ne mènent à rien : Je ne peux que sublimer à travers l'Art pour oublier que "tous les matins du monde sont sans retour".</p>
<p>Plus je parcours les pages de ce livre, plus je le trouve beau.</p>Quignard, pêle-mêle - Agnesurn:md5:319da56580ca5105bc4ad79b3b61563b2011-02-03T22:56:54+01:002011-02-03T22:57:01+01:00Agnes<p>Coucou Céline. </p>
<p>Moi aussi, j'ai un bon souvenir du film, et la musique interprétée par Jordi Savall m'accompagne souvent. Le roman... Mais je reverrai le film.</p>
<p>Amitiés, </p>
<p>A.</p>Quignard, pêle-mêle - Célineurn:md5:b2529b152608f14fb75045430d54f5632011-02-03T17:54:55+01:002011-02-03T18:45:01+01:00Céline<p>Je n'ai encore jamais lu le livre, mais je me souviens avec beaucoup d'émotion du film, et de la beauté de la musique qui l'accompagnait. J'avais été le voir, petite fille, avec mes parents ; je pense que c'était le premier vrai film que je voyais au cinéma, et j'étais toute impressionnée et émerveillée par la beauté des images.<br />
Quant à la bande originale, comme celle de Barry Lindon, elle m'accompagne encore régulièrement...</p>Jean-Michel Guenassia - Le Club des Incorrigibles Optimistes - Agnèsurn:md5:7980779a13e93778d66ee9288d92847f2010-11-09T15:07:31+01:002010-11-09T15:07:54+01:00Agnès<p>Nous nous voyons si peu ! D'ailleurs, il va falloir y remédier d'urgence...<br />
Bien contente que ce roman t'ait plu -la relève est assurée par le récent Goncourt :-(<br />
et bien contente et de te voir passer par ici !</p>Jean-Michel Guenassia - Le Club des Incorrigibles Optimistes - Hélèneurn:md5:582b9b981b7f51dd2d84023242881bc32010-11-09T14:59:58+01:002010-11-09T15:03:47+01:00Hélène<p>Comment, je ne t'avais pas parlé de mon enthousiasme pour ce roman l'an dernier ? Je suis très déçue d'avoir été doublée par Sylvain ;-) Je désespérais en pensant que les écrivains français avaient perdu le mode d'emploi des romans... Mention spéciale à l'ouverture du roman, que j'ai trouvée très forte.</p>Lignes de Faille de Nancy Huston - Nénaurn:md5:7920a4a266b32b1980f7564da204712b2007-05-20T15:47:22+00:002007-05-20T16:08:18+00:00Néna<p>Trés beau livre, mais le premier personnage (Sol) est sinistre et particulièrement inquiétant.</p>Lignes de Faille de Nancy Huston - Agnès Oroscourn:md5:1fb8bcaef375ac0dd88473e8577e7e332007-05-05T08:25:17+00:002007-05-05T08:25:17+00:00Agnès Orosco<p></p>
C'est étrange, moi, ce premier personnage m'a glacée.
A.Lignes de Faille de Nancy Huston - juliaurn:md5:922767bb8418e564c2ecb46d97893d122007-05-04T21:56:02+00:002007-05-05T08:24:48+00:00julia<p>C'est un roman qui m'a beaucoup touchée comme tous ceux d'ailleurs qui évoquent les camps de toute façon...Mais celui-là, montre à quel point toute la descendance est marquée au fer par le destin d'Erra, à quel point cet épisode traumatisant ne l'est pas que jusqu'en 1945...<br />
On s'attache à cette famille qui fait ce qu'elle peut pour vivre avec et aller de l'avant. J'aime particulièrement le petit bonhomme qui ouvre le roman.</p>