Maudite soit la guerre

Capture.JPG
 

Avril 1917. A l’école, Fulbert, onze ans, doit imaginer une lettre de soutien aux soldats dans les tranchées. Il a alors une idée : porter en secret sa rédaction à son père qui se trouve justement au front, sur le Chemin des Dames. La présence d’un enfant jette le trouble sur le champ de bataille, dans chacun des deux camps. Une histoire directement inspirée du monument aux morts du village de Gentioux, dans le Limousin, représentant un enfant qui lève le poing devant l’inscription « Maudite soit la guerre ».

Lire l'article de la circonscription du Soissonnais.